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George Soros, agent des Rothschild

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Il n’est pas le seul spéculateur de haut niveau. Au cours de toute sa vie il a été le garçon de course dévoué de l’establishment financier anglo-américain, et a conduit des opérations de saccage contre les nations des pays de l’Est, et contre la souveraineté des nations.

Son coup de maître avec la Livre anglaise

C’est ainsi qu’en Septembre 1992 il a détruit la Livre Sterling contre la Banque d’Angleterre attaquant aussi la Lire italienne et raflant au passage un profit de 1200 millions de dollars. Il s’en est vanté ensuite dans une interview télévisée. Il réussit à se financer à hauteur de 40000 millions de dollars en Allemagne. Et sait comment emprunter 1000 millions de dollars en ne payant que 5% d’intérêt.

Les liens de Soros avec l’oligarchie britannique, et notamment les Rothschild, sont forts. Ceux-ci voulaient miner la Bundesbank, alors qu’en même temps ils considéraient la livre sterling comme très surévaluée.

Soros a des lignes de crédit préférentielles avec des banques comme Citibank, liée à son fond Quantum, et a des accès privilégiés avec Eretz Yisroel de l’ex Ariel Sharon. Ceux-ci lui ont indiqué comment battre la Bundesbank et détruire la livre anglaise.

Soros et son fond Open Society

Une fois ses profits de 1,2 milliards de dollars gagnés sur la livre anglaise en 1992, il va mettre en œuvre les principes du libre marché de Von Hayek pour détruire des nations. Fondé en 1979 son fond Open Society s’y emploie. En 1994 par exemple, il a dépensé avec l’Open Society 300 millions de dollars, une somme considérable.

Soros travaille main dans la main avec des gens comme Paul Volcker, ancien président de la FED et président de la Trilatérale de David Rockefeller, Anno Ruding de Citibank qui était au FMI et Jeffrey Sachs professeur à Harvard.

Après avoir sévi en « réorganisant » l’économie polonaise, Soros l’a fait avec la Russie via le plan Shatalin, basé sur la « thérapie de choc » du FMI. Gorbachov refuse le plan Shatalin qui lui aurait permis de rester à la tête de l’URSS et lURSS aurait été réformée au lieu d’être désintégrée.

Le réseau financier secret derrière George Soros

Suite aux recherches de William Engdahl notamment, on en sait plus sur ses liens avec les Rothschild, la City de Londres, et le Mossad israélien. La réalité derrière George Soros est autre chose que son image médiatique soigneusement cultivée. George Soros n’est que la face visible qui semble anodine d’un réseau vaste et très méchant d’intérêts financiers privés, contrôlés par les grandes familles aristocratiques et royales d’Europe.

Plutôt que d’utiliser les pouvoirs directs de l’Etat pour atteindre les objectifs géopolitiques cruciaux, une vaste exploitation réticulée secrète comprenant des intérêts financiers privés, liés à l’ancienne oligarchie aristocratique de l’Europe occidentale, a été développée. C’est fait à bien des égards sur le modèle des modèles britanniques de la Dutch East India Company du 17e siècle.

Selon des sources bien informées, le coeur de ce « Club des îles » est le centre financier de l’ancien Empire britannique, la City de Londres. George Soros est membre de ce qu’on appelait à l’époque médiévale Hofjuden, ou «Juifs de la Cour,” qui étaient et sont gérées par ce puissant réseau secret des vieilles familles aristocratiques.

Le Quantum Fund de Soros

Soros spécule sur les marchés financiers mondiaux par l’intermédiaire de sa société offshore secrète, Quantum Fund N.V., un fond d’investissement entièrement privé appelé un «fonds de couverture». Les fonds de couverture ont été identifiés par les organismes internationaux de police comme ayant la plus forte croissance pour le blanchiment d’argent illégal aujourd’hui.

Le Quantum Fund de Soros est inscrit à Curaçao, dans les Antilles néerlandaises, le paradis fiscal des Caraïbes et donc il évite de payer des impôts, et lui permet de cacher le nom de ses investisseurs, ainsi que ce qu’il fait avec leur argent.

En déplaçant son siège légal à Curacao, Soros a pu éviter la supervision des Etats-Unis par le gouvernement de ses activités financières, que tout fonds d’investissement basé aux U.S. doit accepter pour fonctionner. Les Antilles néerlandaises, une possession du Royaume des Pays-Bas, ont été maintes fois citées par le Groupe de travail international sur le blanchiment de l’argent de l’OCDE comme l’un des centres les plus importants du monde pour le blanchiment des produits illicites de la cocaïne d’Amérique latine et des autres trafics de drogue.

Soros a également pris grand soin pour qu’aucun des 99 investisseurs individuels qui forment ses différents fonds, ne soit un ressortissant américain. Selon la loi sur les valeurs mobilières des Etats-Unis, un fonds de couverture est limité à un maximum de 99 investisseurs de personnes très riches, soi-disant « investisseurs avertis ».

En structurant sa société d’investissement en tant que fonds de couverture hors des États-Unis, Soros évite l’examen du public. Soros lui n’est même pas officiellement actionnaire du Quantum Fund. Au lieu de cela, pour des raisons juridiques, il sert officiellement de « conseiller en placements » pour Quantum Fund N.V. via sa société, Soros Fund Management, domiciliée au 888 Seventh Avenue, New York City.

Si une demande est formulée auprès de Soros pour révéler les détails de Quantum Fund, il peut prétendre qu’il est « simplement son conseiller en placement. »

Selon les enquêteurs compétents américains et européens, Soros fait partie d’un cercle qui comprend Marc Rich de Zoug, en Suisse et Tel Aviv, Shaul Eisenberg, et “Dirty Rafi” Eytan, à la fois lié à l’aspect financier du Mossad israélien, et à la famille de Lord Jacob Rothschild.

Naturellement, Soros et les intérêts des Rothschild préfèrent garder leur connexion cachée loin de la vue du public, de manière à masquer les puissants amis de Soros dans la City de Londres, le Foreign Office britannique, Israël et l’établissement financier américain.

Le mythe a donc été créé que Soros serait un investisseur financier “génial” et solitaire qui, grâce à ses talents personnels dans la détection des changements dans les marchés, est devenu l’un des spéculateurs les plus prospères de la planète.

Selon ceux qui le connaissent et qui ont fait des affaires avec lui, Soros ne fait jamais un mouvement majeur d’investissement, que ce soit contre la livre ou le franc ou  l’or sans des informations d’initiés de haut niveau. Au conseil d’administration de Quantum Fund N.V. de Soros se trouve Richard Katz.

Soros est lié à Rothschild

Katz est un homme des Rothschild qui est également membre du conseil de la banque d’affaires de Londres N.M. Rothschild & Sons, et le chef de Rothschild Italia S.p.A. de Milan. Un autre lien de la famille Rothschild à Quantum Fund de Soros est le membre du conseil Quantum Nils O. Taube. Taube est le partenaire du groupe d’investissement de Londres, St. James Place Capital, dont le principal partenaire est Lord Rothschild.

Le chroniqueur du London Times, Sire William Rees-Mogg, est également membre du conseil de St. James Place au Capital de Rothschild. Un autre membre du conseil d’administration de Quantum Fund de Soros est le chef de l’une des banques privées suisses les plus controversés, Edgar de Picciotto, qui a été appelé «l’un des banquiers les plus habiles à Genève, »

De Picciotto est un ami de longue date et associé d’affaires de Edmund Safra, un autre banquier d’origine libanaise qui contrôle la Banque République de New York.

La Republic Bank, aujourd’hui Safra, a été identifiée dans les enquêtes américaines sur le crime organisé russe comme la banque impliquée dans le transfert de milliards de la Réserve fédérale des Etats-Unis de New York à Moscou, vers des  banques organisées qui contrôlent la criminalité, au nom du crime organisé russe. En outre, Safra est sous enquête par des Etats-Unis et les autorités suisses pour le blanchiment de l’argent de la drogue turque et colombienne.

Depuis la Seconde Guerre mondiale, la famille du financier légendaire Rothschild, au cœur de l’appareil financier du « Club des îles », a fait de grands efforts pour tromper, et se créer pour lui-même une aura publique d’insignifiance, alors que derrière lui se trouve l’une des plus puissante organisations troubles des financiers monde. La famille a dépensé des sommes importantes pour cultiver une image publique comme une famille de riches, et rien de plus.

Les Rothschild ont été impliqués dans la création d’Israël

Entre autres choses, ils ont voulu être connus, dès 1948, comme s’étant consacrés à la cause du nouvel Etat d’Israël, en jouant sur l’indignation du monde entier suite à l’holocauste nazi contre les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. En effet, depuis que le secrétaire des Affaires étrangères britannique Arthur Balfour écrivit sa fameuse lettre Novembre 1917 à Lord Rothschild exprimant le soutien du gouvernement britannique officielle pour l’établissement en Palestine d’un foyer national pour les Juifs, les Rothschild ont été intimement impliqués dans la création d’Israël.

Il n’est donc pas surprenant, de constater qu’aujourd’hui Soros et Rothschild ont des liens avec les renseignements israélien, britanniques et américains. Mais derrière leur façade publique comme une famille donnant de l’argent pour des projets utiles telles que la plantation d’arbres dans les déserts d’Israël, N.M. Rothschild de Londres est au centre de diverses opérations de renseignement.

N.M. Rothschild est considéré par les initiés de la City de Londres pour être l’un des éléments les plus influents de cette partie de l’establishment britannique Intelligence liée à l’aile du Parti conservateur. Rothschild & Sons ont donné d’énormes sommes pour la gestion de Thatcher pour la privatisation des milliards de dollars de fonds de l’industrie de l’Etat britannique dans les années 1980, et pour le gouvernement de John Major.

De plus, Rothschild est au cœur même du commerce de l’or du monde, étant la banque chez qui, deux fois par jour, le London Gold Fix est décidé par un groupe de cinq banques les plus influentes du commerce de l’or. L’or constitue une part importante de l’économie issue des transactions de drogue à l’échelle mondiale.

Mais N.M. Rothschild & Sons est également impliqué dans certaines des opérations les plus sales : médicaments, armes. Parce qu’il est bien relié aux plus hauts niveaux des services secrets de l’establishment britannique, Rothschild a réussi à échapper aux poursuites pour sa complicité dans l’un des réseaux de renseignements secrets des plus sordides, celui de la BCCI (Bank of Commerce et du Crédit International).

Les Rothschild, blanchiment d’argent, armes, drogue et Mossad

Rothschild était au cœur du vaste réseau international de banques de blanchiment d’argent utilisées au cours des années 1970 et 1980, par la Grande-Bretagne et son MI-6 et le réseau du lieutenant-colonel Oliver North et du vice-président George Bush, pour financer des projets tels que le Nicaragua Contras.

Mais, ce qui n’a jamais été identifié dans une seule enquête de presse occidentale majeure, c’était que le groupe Rothschild, lié à George Soros, était au cœur de la BCCI.

Selon ces rapports, parmi les investisseurs silencieux de Soros il y a – comme mentionné plus haut – Marc Rich, basée à Zug, en Suisse, et le marchand d’armes israélien Shaul Eisenberg, qui a été identifié en tant que membre depuis plusieurs décennies du renseignement israélien Mossad, et qui fonctionne comme un marchand d’armes les plus importants dans toute l’Asie et le Proche-Orient.

Bon tout ça est vraiment vomitif. Soros et les Rothschild, la City de Londres, le Mossad et Israël. Que du beau monde !

Algarath

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Un peu plus sur : La Banque des Règlements Internationaux

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Souvent sur le métier remettez votre ouvrage ! On va répéter, repréciser, compléter les infos qu’on donne sur cette banque, vu qu’elle est au sommet de la pyramide de la domination financière mondiale.

Il faut que les lecteurs sachent pointer du doigt qui dirige le monde, via la finance. Qui doit être empêché de nuire ? La Banque des Règlements Internationaux et leurs banques centrales.

La plupart des gens n’en ont jamais entendu parler, mais cette banque située à Bâle contrôle secrètement toute la source monétaire mondiale, et est en fait l’organisation qui est la plus puissante au monde. Lui couper les ailes serait éliminer la plus grande force des élites.

Elle est la banque centrale des banques centrales. Elle est localisée à Bâle en Suisse et possède des succursales à Hong Kong et à Mexico City. Ses membres ne sont pas élus et sont exonérés de toute responsabilité, ayant une immunité totale contre toute imposition que ce soit, ainsi que contre les lois nationales. Elle n’est responsable devant aucun gouvernement. Elle fut utilisée pour blanchir l’argent des nazis durant la seconde guerre mondiale.

La BRI se compose de 60 banques centrales. La Banque des Règlements Internationaux fut créée par l’élite mondialiste et elle opère pour son bénéfice exclusif. Elle est la pierre angulaire indiscutable et toute puissante du système économique unique mondial émergeant au point qu’elle préfigure un gouvernement mondial totalitaire. Il y a un pdf sur l’Internet publié par la BRI elle-même.

A la table se tiennent les patrons des plus grosses banques centrales mondiales, représentant des pays qui produisent annuellement plus de 75 000 milliards de dollars en PIB, alors que toute l’économie mondiale en produit 80 000 milliards. Soit 95% du Produit Intérieur Brut mondial !

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Institutions représentées à la BRI. Sont Membres :

Argentina       Central Bank of Argentina

Australia         Reserve Bank of Australia

Australian Prudential Regulation Authority

Belgium          National Bank of Belgium

Brazil  Central Bank of Brazil

Canada           Bank of Canada

Office of the Superintendent of Financial Institutions

China  People’s Bank of China

China Banking Regulatory Commission

European Union        European Central Bank

European Central Bank Single Supervisory Mechanism

France            Bank of France

Prudential Supervision and Resolution Authority

Germany        Deutsche Bundesbank

Federal Financial Supervisory Authority (BaFin)

Hong Kong SAR         Hong Kong Monetary Authority

India   Reserve Bank of India

Indonesia       Bank Indonesia

Indonesia Financial Services Authority

Italy    Bank of Italy

Japan  Bank of Japan

Financial Services Agency

Korea  Bank of Korea

Financial Supervisory Service

Luxembourg  Surveillance Commission for the Financial Sector

Mexico            Bank of Mexico

Comisión Nacional Bancaria y de Valores

Netherlands   Netherlands Bank

Russia Central Bank of the Russian Federation

Saudi Arabia  Saudi Arabian Monetary Agency

Singapore       Monetary Authority of Singapore

South Africa   South African Reserve Bank

Spain  Bank of Spain

Sweden          Sveriges Riksbank

Finansinspektionen

Switzerland    Swiss National Bank

Swiss Financial Market Supervisory Authority FINMA

Turkey            Central Bank of the Republic of Turkey

Banking Regulation and Supervision Agency

United Kingdom        Bank of England

Prudential Regulation Authority

United States Board of Governors of the Federal Reserve System

Federal Reserve Bank of New York

Office of the Comptroller of the Currency

Federal Deposit Insurance Corporation

Au 31 décembre 2015, les membres du conseil d’administration étaient les suivants :

Allemagne Jens Weidmann, président

Inde Raghuram Rajan, vice-président

États-Unis Janet Yellen

Royaume-Uni Mark Carney

Mexique Agustín Carstens

Belgique Luc Coene

Royaume-Uni Jon Cunliffe

Europe Mario Draghi

États-Unis William C. Dudley

Suède Stefan Ingves

Suisse Thomas Jordan

Pays-Bas Klaas Knot

Japon Haruhiko Kuroda

France Anne Le Lorier

Italie Fabio Panetta

Canada Stephen Poloz

Belgique Jan Smets

Brésil Alexandre Tombini

France François Villeroy de Galhau

Italie Ignazio Visco

République populaire de Chine Zhou Xiaochuan

Vous remarquerez que la Chine y est. Autant pour les crédules qui croient que la Chine va faire sécession ! C’est même Zhou Xiaochuan qui a exigé le système SDR / DTS en 2009.

Les banquiers centraux qui se rassemblent lors de ces réunions ne sont pas là seulement pour socialiser et discuter le bout de gras. Aucun membre du personnel des banques n’est admis à ces réunions et celles-ci s’effectuent dans une atmosphère de secret absolu.

En substance, la destinée de l’économie mondiale est exclusivement déterminée par un groupe de banquiers centraux, non élus, non-représentatifs, au cours de réunions secrètes dont personne n’entend jamais parler. Et bien sûr ils jouissent d’une immunité totale.

L’élite croit que les “grandes décisions” sont bien trop importantes pour être laissées aux gens, et en conséquence la vaste majorité des “institutions internationales” qui ont été établies par cette “élite” opèrent de manière totalement indépendante du processus démocratique.

Carroll Quigley : citation d’un livre qu’il écrivit en 1966 et dans lequel il parlait des grands plans que l’”élite” avait pour la Banque des Règlements Internationaux : “Les puissances du capitalisme financier avaient un but plus ambitieux, rien de moins que de créer un système de contrôle financier mondial, qui serait mis dans des mains privées et qui serait capable de dominer le système politique de chaque nation ainsi que l’économie mondiale dans son entièreté. Ce système devait être contrôlé de manière féodale par les banques centrales mondiales agissant de concert par le biais de réunions secrètes fréquentes au cours lesquelles des accords seraient établis pour y parvenir. Le summum de ce système serait la Banque des Règlements Internationaux (BRI) de Bâle en Suisse, une banque privée possédée et contrôlée par les banques centrales mondiales, étant elles-mêmes des entreprises privées.”

A cette époque, la BRI commençait seulement son rôle majeur dans les affaires internationales. Mais au fil des ans, la BRI devint de plus en plus importante. Ce qui suit est un extrait d’un article de Ellen Brown : « Pendant des années la BRI tint profil bas, opérant de derrière le rideau depuis un hôtel abandonné. Ce fut là que des décisions importantes telles que dévaluer ou réévaluer des monnaies furent prises, ou fixer le prix de l’or, réguler les paradis fiscaux, augmenter ou baisser les taux directeurs. En 1977, la BRI abandonna son profil bas en échange d’un quartier général plus efficace. Aujourd’hui la BRI a une immunité gouvernementale, ne paie aucun impôt et possède sa propre force de police privée. Elle est, comme l’avait prévu Mayer Rothschild, au dessus des lois »

La BRI et les nazis

Hitler bush camps concentration

La guerre terminée, la banque continua à offrir ses services financiers au IIIème Reich en exil. La majorité de l’or pillé par la conquête nazie en Europe se retrouva dans les coffres de la BRI, mettant ainsi à la disposition des nazis des fonds qui auraient dû normalement être bloqués. Douze des quatorze directeurs de la banque étaient, selon les affirmations du Secrétaire au Trésor Américain Morgenthau, nazis ou aux ordres des nazis.

Hitler

Les Fonds américains et britanniques qui étaient destinés à soutenir l’accession d’Hitler au pouvoir et à financer, par la suite, sa machine de guerre, transitaient par la BRI.

Rothschild

La BRI, institution financière gérée et dirigée par des britanniques fut le principal acteur financier de la machine de guerre nazie. La BRI est l’organisme de coordination entre les grandes banques centrales du monde. Malgré l’importance de la BRI pour Hitler, la Grande-Bretagne ne s’opposa pas aux activités de la banque, même après la décision britannique d’entrer en guerre contre l’Allemagne.

Rôle de la BRI : La stabilité monétaire et financière mondiale, faux-nez

La mission de la Banque pour les Règlements Internationaux (BRI) est de servir les banques centrales dans leur recherche de stabilité monétaire et financière, de développer la coopération internationale dans ces domaines et d’agir comme une banque pour les banques centrales

Comment donc la BRI parvient-elle à réaliser la “stabilité monétaire et financière” ? Un article publié sur « Investor Insight » (investorsinsight.com) décrit comment cela est accompli. C’est fait par le contrôle des devises. Elle détient actuellement 7% de toutes les devises du monde, dont l’unité de mesure a été changée en Mars 2003 du Franc suisse or aux Special Drawing Rights (SDR), une monnaie artificielle dont la valeur est basée sur un panier de monnaies. Le Yuan chinois entre dans le panier au 1er Octobre 2016.

La BRI contrôle tout l’or du monde

La banque contrôle également une énorme quantité d’or, qu’elle à la fois stockée et prêtée, lui donnant un très bon levier sur le prix des métaux et la puissance que cela apporte sur le marché, car l’or demeure toujours la seule monnaie universelle. Les réserves d’or de la BRI ont été listées dans le dernier rapport en date (2005) à 712 tonnes. Quelle est la quantité d’or en stock et la quantité prêtée ? Information non divulguée.

En contrôlant les changes ainsi que l’or, la BRI peut s’engager sur du long terme à déterminer les conditions économiques de tout pays. Rappelez-vous que la prochaine fois que Ben Bernanke (NdT : ex-patron de la Réserve Fédérale américaine) ou le président de la BCE annoncent une hausse des taux d’intérêt, vous pouvez parier que cela ne s’est pas fait sans l’accord du bureau de la BRI.

Comment les banques agissent ?

Un article récent publié sur CNBC et intitulé: “Central Banks: How They Are Ruling the Financial World” détaillait l’impact énorme qu’ont eu les banques centrales sur le système financier mondial en 2012.

En tout, 13 autres banques centrales dans le monde ont suivi la Fed et ramené leur taux d’intérêt très proche de zéro dans un effort de conserver les liquidités et de doper leurs économies malades. Ces 14 économies représentent un incroyable 65 000 milliards de dollars en obligations de capitalisation de marché et d’équités combinés d’après Bank of America Merrill Lynch.

Plus loin dans le même article, l’auteur parle des sommes très importantes d’argent que les banques centrales ont créé de l’air du temps : “Quand vous additionnez toutes les banques centrales du monde, cela représente 9000 milliards de dollars”, dit Marc Doss, investisseur en chef pour la banque privée de la Wells Fargo. “Cela revient à créer la seconde plus grande économie mondiale de rien, de l’air du temps”.

De fait, la banque centrale est un fait économique par lui-même, un empire représentant un marché de multi-trillions dollars qui massage et manipule les marchés, qui répond au doigt et à l’œil à la moindre nouvelle émanant des comités décisionnaires de ces entités.

Qui est derrière la BRI ?

Les banques centrales du monde contrôlent l’argent, et qui donc contrôle ces banques centrales : La Banque pour les Règlements Internationaux.

La BRI, au-dessus des lois : Immunité totale

La Banque des Règlements Internationaux est au-dessus des lois. De par les droits qui lui sont accordés par la grâce du Conseil Fédéral Suisse, toutes les archives de la banque, tous ses documents et “toute donnée médiatique” sont “inviolables en tout lieu et en tout temps”. De plus, les employés et officiers de la BRI “jouissent de l’immunité de toute juridiction criminelle et administrative, dans la mesure où cette immunité n’est pas levée de manière formelle et ce même après qu’une personne ait cessé d’être officiellement employée de la banque”. Finalement, aucune plainte contre la BRI ou ses dépositaires ne peut être appliquée “sans l’accord préalable de la banque.”

La BRI, chambre de compensation, et les SDR / DTS issus par le FMI

Alors, quel est le futur pour la BRI ? : Beaucoup ont spéculé que le but n’est éventuellement que d’obtenir une monnaie mondiale unique, qui ne sera administrée que par une banque centrale unique. La BRI utilise déjà les SDR, considérés comme un précurseur de la monnaie unique à venir. La BRI a joué un grand rôle dans l’adoption de l’euro et une intégration plus avant des monnaies est certainement dans l’agenda des années à venir. Il vient d’être décidé au cours du premier semestre de 2016 :

  • La BRI va désormais être officiellement à la tête des 60 banques centrales, alors qu’avant c’était caché et non officiel.
  • La BRI va être la clearing house des SDR / DTS (la chambre de compensation), sur le marché secondaire donc, le FMI étant ceux qui les éditent au départ (marché primaire)

On a donc un lien supplémentaire désormais, le lien BRI / FMI.

Au bout du compte, la façon dont vous ressentirez la BRI ne sera que le reflet de ce que vous ressentirez pour une monnaie unique. La banque fut un participant important de la création de l’Euro comme la monnaie commune de l’Europe.

Mais si les Etats-Unis abandonnaient un jour le dollar, ceci constituerait une gifle majeure à notre souveraineté nationale. Les US garderont leur dollar mais pour le marché intérieur (dollar onshore). Les réserves de change mondiale seront en SDR / DTS, et les énormes paiements pour les ressources (pétrole, etc.) se feront aussi en DTS / SDR.

Malheureusement, l’élite mondialiste est absolument obsédée par l’idée d’une monnaie unique mondiale, un système économique unique mondial et un gouvernement mondial le régissant, le véritable Nouvel Ordre Mondial. Il sera là en 2030.

Algarath

 

Sources partielles : Michael Snyder (The Economic Collapse),

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La dynastie des Rothschild (1) : Activités de Mayer Amschel de 1760 à 1812

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Pendant de nombreuses années les Rothschild ont exercé une fascination quasi mystique pour beaucoup de gens à travers le monde, et en particulier aux États-Unis d’Amérique.

Il semble que depuis peu le nom soit évoqué de plus en plus souvent quand on parle de domination tentaculaire par le pouvoir et l’argent, et de Nouvel Ordre Mondial. En fait on retrouve cette famille à la croisée de divers groupes d’influence, de la matrice qui a la mainmise quasi-absolue sur les affaires du monde. L’attention qui est de plus portée sur cette famille est amplement justifiée.

Au fil des ans aux Etats-Unis, les banquiers internationaux ont fait l’objet de critiques de la part d’une variété d’individus qui détenaient des postes élevés de confiance, comme les hommes publics, dont les opinions sont dignes d’être mentionnées. Leurs responsabilités les avaient placés dans des positions où ils savaient ce qui se passait dans les coulisses de la politique et de la haute finance.

Critiques historiques fortes des Rothschild

Le Président Andrew Jackson (1767-1845), le seul des présidents américains dont l’administration a totalement aboli la dette nationale, a condamné les banquiers internationaux comme étant un « repaire de vipères » qu’il était déterminé à ” mettre en déroute “ et à éliminer de la vie américaine. Jackson a affirmé que si le peuple américain comprenait comment ces « vipères » exploitaient la scène américaine ” il y aurait une révolution avant demain matin. “

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Le membre du Congrès Louis T. McFadden qui, depuis plus de dix ans, a servi en tant que président du Comité des banques et de la monnaie, a déclaré que les banquiers internationaux sont « un équipage sombre de pirates financiers qui couperait la gorge d’un homme pour obtenir un dollar de sa poche et ils se nourrissent sur les habitants de ces Etats-Unis ». En 1936, la mort soudaine de McFadden est attribuée à une crise cardiaque, lors d’une visite à New York; l’hypothèse d’un

macfaddenempoisonnement a rapidement été émise et n’a jamais été démentie.

John F. Hylane, alors maire de New York, a déclaré en 1911 que « la menace réelle de notre république est le gouvernement invisible qui, comme une pieuvre géante, étend son corps gluant sur notre ville, l’état et la nation. A la tête se trouve un petit groupe de banquiers, généralement appelé « banquiers internationaux. »

Étaient ils corrects dans leur évaluation de la situation, ou étaient-ils les victimes d’une forme exotique de paranoïa ?

Examinons l’histoire analytiquement et sans émotion pour découvrir les faits. La vérité, telle qu’elle se déroulera, se révélera être l’ouverture des yeux et l’éducation pour ceux qui cherchent à mieux comprendre les événements ahurissants qui se sont déroulés et se déroulent encore sur les scènes nationales et internationales.

Des débuts modestes

L’Europe, vers la fin du dix-huitième siècle, ou au moment de la Révolution américaine était très différente de ce que nous savons dans la même région aujourd’hui. Elle était composée d’une combinaison de grands et petits royaumes, duchés et les Etats étaient constamment engagés dans des querelles entre eux.

La plupart des gens étaient réduits à l’état de serfs sans droits politiques. Les maigres « privilèges » qui étaient accordés par leurs «propriétaires» pouvaient être retirées à tout moment.

Ce fut durant cette période qu’un jeune homme est apparu sur la scène européenne qui devait avoir un impact énorme sur l’évolution future de l’histoire du monde: son nom était Mayer Amchel Bauer. Des années plus tard son nom, qu’il avait changé, est devenu synonyme de richesse, de pouvoir et d’influence. Il a été le premier des Rothschild- Le premier vraiment banquier international !

Mayer Amchel Bauer est né à Francfort-sur-le-Main en Allemagne en 1743. Il était le fils de Moïse Amchel Bauer, un prêteur d’argent itinérant et un orfèvre qui, fatigué de ses pérégrinations en Europe de l’Est, décida de s’installer dans la ville où son premier fils naquit. Il ouvrit une boutique dans une maison sur Judenstrasse (ou rue des Juifs). Sur la porte menant à la boutique il plaça un grand bouclier rouge (ou Roth Schield en allemand).

À un âge très précoce Mayer Amchel Bauer montra qu’il possédait une immense capacité intellectuelle, et son père passa une grande partie de son temps à lui apprendre tout ce qu’il pouvait sur l’activité de prêt d’argent, et lui inculqua les leçons qu’il avait apprises de plusieurs sources. Le vieux Bauer, à l’origine, espérait avoir son fils formé comme rabbin, mais la mort prématurée du père a mis fin à ces plans très vite.

Quelques années après la mort de son père Mayer Amchel Bauer est allé travailler comme commis dans une banque détenue par les Oppenheimer à Hanovre. Sa capacité supérieure a été rapidement reconnue, et son avancement au sein de l’entreprise a été rapide. Il fut récompensé par un partenariat de premier cycle, au sein de la famille.

Peu après, il revint à Francfort où il fut en mesure d’acheter l’entreprise que son père avait établie en 1750. Le grand bouclier rouge était toujours affiché sur la porte. Reconnaissant la véritable signification du Bouclier Rouge (son père l’avait adoptée comme emblème du drapeau rouge qui était l’emblème des Juifs d’esprit révolutionnaires en Europe de l’Est), Amchel Mayer Bauer changea son nom pour celui de Rothschild: de cette façon la maison des Rothschild vit le jour.

L’opportunité pour une grande accumulation de richesse se présenta au cours des années 1760, quand Amchel Rothschild renouvela ses liens de connaissance avec le général von Estorff, pour qui il faisait des courses alors qu’il travaillait à la Banque Oppenheimer.

Lorsque Rothschild a découvert que le général, qui était maintenant attaché à la cour du prince Guillaume de Hanau, était intéressé par des pièces rares, il a décidé de tirer pleinement parti de la situation. En offrant des pièces de monnaie et des bijoux de valeur à prix « discount », il s’attira bientôt les bonnes grâces des membres influents, généraux et puissants de la Cour.

Un jour, il fut mis en présence du Prince William lui-même. Son Altesse lui acheta une poignée de ses plus rares médailles et monnaies. Ce fut la première transaction entre un Rothschild et un chef d’Etat. Bientôt Rothschild fit des affaires avec d’autres princes.

Avant longtemps Rothschild a essayé un autre stratagème pour obtenir ses entrées avec divers princes et locaux, pour poursuivre ses propres buts ! Il leur écrivit des lettres qui jouaient sur leur vanité princière, tout en leur demandant leur patronage. Une lettre typique était :

“Ce fut mon plaisir particulier et ma bonne fortune de servir votre haute sérénité princière à différents moments, et pour votre plus gracieuse satisfaction. Je suis prêt à exercer toutes mes énergies et utiliser toute ma fortune pour servir votre sérénité princière élevée chaque fois qu’à l’avenir il plaira que vous ordonniez. Une incitation particulièrement puissante à cette fin me serait donnée si votre haute sérénité princière était de m’honorer d’un rendez-vous avec votre Altesse”.

Sa tactique fut payante. Le 21 Septembre 1769, Rothschild put clouer un panneau portant les armes de Hess-Hanau à l’avant de sa boutique. En caractères d’or, il lut: «M A Rothschild, facteur de la cour nominé par son altesse sérénissime, le Prince Guillaume de Hanau.”

En 1770, Rothschild épousa Gutele Schnaper qui était âgé de dix-sept ans. Ils eurent une grande famille composée de cinq fils et de cinq filles. Leurs fils étaient Amchel, Salomon, Nathan, Kalmann (Karl) et Jacob (James).

L’histoire rapporte que Guillaume de Hanau, “dont la dynastie était célèbre en Allemagne depuis le Moyen Age,” était un marchand de chair à canons. Pour un prix élevé digne du Prince, lui qui était étroitement liée aux différentes familles royales d’Europe, il louait des troupes à une Nation. Son meilleur client fut le gouvernement britannique, qui voulait des troupes pour de tels projets en essayant de dominer les colons américains.

Il fit exceptionnellement bien avec son affaire de loueur de soldats. Quand il est mort, il laissa la plus grande fortune jamais accumulée en Europe à ce moment-là, 200 Millions de dollars. Le biographe de Rothschild, Frederic Morton, décrit Guillaune de Hanau comme « le plus froid usurier de l’Europe de bleu-sang. » (Les Rothschild, Fawcett Crest, 1961, p. 40). Rothschild finançait tout ça et touchait des commissions.

Rothschild devint un agent pour ce marchand humain “de bétail à se faire tuer”. Il travailla avec diligence dans son nouveau poste de responsabilité, car quand Guillaume de Hanau fut contraint de fuir au Danemark, il laissa 600.000 livres (alors l’équivalent de 3 Millions de dollars) à Rothschild pour les garder en sécurité.

Une indication que Rothschild fut à l’origine de la création des illuminati d’Adam Weishaupt

Selon le commandant William Guy Carr, qui était un officier du renseignement de la Marine royale du Canada, et eut d’excellents contacts dans les milieux du renseignement à travers le monde, le fondateur de la maison Rothschild élabora des plans pour la création des Illuminati, puis confia à Adam Weishaupt son organisation et son développement.

Rothschild à l’origine de la révolution française

Sir Walter Scott, dans le second volume de sa « Vie de Napoléon », déclare que la Révolution française a été planifiée par les Illuminati et financée par les changeurs de l’Europe. Chose intéressante, le livre ci-des est le seul livre que Scott ait écrit qui ne figure pas sous son nom dans l’un des ouvrages de référence. Les lecteurs devront juger par eux-mêmes s’il existe une base crédible pour croire les affirmations du commandant Carr.

Pour un compte-rendu de ce qui est arrivé ensuite nous nous tournons vers l‘Encyclopédie juive, édition 1905, Volume 10, p. 494 : “Selon la légende cet argent était caché dans des fûts de vin, et, échappant à la recherche des soldats de Napoléon quand ils sont entrés Frankfort, a été restauré intact dans les mêmes fûts en 1814, lorsque l’électeur est retourné à l’électorat LES FAITS SONT ASSEZ MOINS ROMANTIQUE ET PLUS PRAGMATIQUES. “

Portez une attention particulière aux neuf derniers mots. Ils sont chargés d’une signification. Ici, la principale autorité juive affirme que ce Rothschild a effectivement fait avec les 3 Millions de dollars était « plus pragmatique, » du point de vue juif, que ce qui a été dit dans la légende.

La simple vérité de la question est que Rothschild avait détourné l’argent du Prince Guillaume de Hanau. Mais avant même que l’argent atteint Rothschild il n’a pas été « propre ». La grande somme avait été versée par le gouvernement britannique pour les services de ses soldats. L’argent a été détourné par Guillaume de Hanau de ses troupes, qui avaient moralement droit sur lui.

Avec l’argent détourné deux fois sur une base solide, Mayer Amchel Rothschild a décidé d’élargir considérablement ses opérations et devenir le premier Banquier International.

Quelques années plus tôt Rothschild avait envoyé son fils, Nathan, en Angleterre pour prendre soin des affaires de la famille dans ce pays. Après un bref séjour à Manchester, il déménagea.

Oui, l’Encyclopédie juive prétend que la grande fortune accumulée par les Rothschild au cours des années a été basée sur l’ « entreprise comme « méthode de FRAUDE ».

Avec leur énorme accumulation la famille établit des branches à la Chambre des Rothschild à Berlin, à Vienne, à Paris et Naples. Rothschild plaça un fils en charge de chaque branche.

Amchel fut placé en charge de la branche de Berlin; Salomon était sur la branche de Vienne; Jacob (James) est allé à Paris et Kalmann (Karl) a ouvert la banque Rothschild à Naples. Le siège de la Chambre des Rothschild était, et est, à Londres.

LA VOLONTÉ DE MAYER AMCHEL

Quand il est mort le 19 Septembre 1812, le fondateur de la maison Rothschild a laissé un testament qui était daté de quelques jours seulement. Dans le testament qu’il a donné des lois spécifiques pour la Chambre qui portait son nom (Rothschild) opérerait dans les années à venir. Les lois sont les suivantes :

(1) Toutes les positions clés de la maison Rothschild devaient être détenues par des membres de la famille, et non par des personnes extérieures. Seuls les membres masculins de la famille ont été autorisés à participer à l’entreprise.

Le fils aîné du fils aîné devait être le chef de la famille, sauf si la majorité du reste de la famille en décidait autrement. C’est pour cette raison exceptionnelle que Nathan, qui était particulièrement brillant, fut nommé à la tête de la Maison des Rothschild en 1812.

(2) La famille était obligée de se marier avec leurs propres cousins, préservant ainsi la grande fortune. Cette règle a été strictement respectée, mais plus tard, quand d’autres riches maisons bancaires juifs sont venues sur la scène, elle a été assouplie tôt pour permettre à une partie de la Maison des Rothschild d’épouser des membres choisis de la nouvelle élite.

(3) Amchel interdit à ses héritiers « le plus explicitement, dans toutes les circonstances que ce soit, d’avoir un inventaire rendu public par les tribunaux, ou autrement, de ma succession. Aussi je défends toute action en justice et toute publication de la valeur de l’héritage. Toute personne qui ne respecte pas ces dispositions et prend toute forme d’action qui est en conflit avec eux sera immédiatement considéré comme ayant contesté la volonté, et doit subir les conséquences de ce faire ».

 (4) Rothschild a ordonné un partenariat de famille perpétuel et à condition que les membres féminins de la famille, leurs maris et leurs enfants reçoivent leur intérêt dans la succession sous réserve de la prise en charge des membres de sexe masculin. Elles devaient n’avoir aucun rôle dans la gestion de l’entreprise. Toute personne qui a contesté cet arrangement perdait ses droits à la succession.

La force puissante de la Maison des Rothschild était basée sur une variété de facteurs importants:

(1) Le secret complet résultant de contrôle total de la famille de toutes les relations d’affaires;

(2) Un étrange, on pourrait presque dire une capacité surnaturelle de voir ce qu’il y avait avant et de tirer pleinement parti de celui-ci. Toute la famille a été tirée par une soif insatiable pour l’accumulation de richesse et de pouvoir, et

(3) la cruauté totale dans toutes les relations d’affaires.

Le biographe Fréderic Morton dans « les Rothschild », nous dit que Amchel Mayer Rothschild et ses cinq fils étaient des «sorciers» de la finance, et les «calculateurs diaboliques» qui étaient motivés par un «entraînement démoniaque» pour réussir dans leurs entreprises secrètes.

INFLUENCE TALMUDIQUE

On pourrait dire des Rothschild que la « famille qui se nourrit ensemble reste ensemble. ». Les cinq frères ont été imprégnés de ce même esprit de ruse et de conquête.

Les Rothschild n’ont formé aucune amitié ou des véritables alliances. Leurs associés étaient de simples connaissances qui ont été utilisées pour promouvoir les intérêts de la maison Rothschild, puis jetés sur le tas d’ordures de l’histoire quand ils avaient atteint leur but ou perdu leur utilité.

Algarath

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La Dynastie des Rothschild (2) : Nathan de 1797 à 1836

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Je continue ici la saga de la dynastie Rothschild, et cet article est le deuxième de la série, qui a commencé sur ce site avec Mayer Amchel Bauer, qui donna le nom de Rothschild à cette dynastie. Aujourd’hui c’est de un de ses fils, Nathan, qui fut aussi diabolique que son père, dont il est question. Il a joué comme son père un rôle prédominant dans l’établissement solide de la dynastie.

Nathan était à Londres, ses frères James (Jacob) et Karl officiaient en France.

On peut difficilement ne pas se renseigner sur la dynastie pour au moins deux raisons si on veut être dans le coup :

  • • Les Rothschild sont encore aujourd’hui et plus que jamais au sommet de la pyramide de la domination des banquiers internationaux.
  • • Les méthodes du passé que Mayer Amschel et Nathan ont employées avec succès sont de nouveaux répétées aujourd’hui.

Nathan Rothschild en Angleterre

Benjamin Disraeli, qui était le premier ministre de la Grande-Bretagne, a écrit un roman intitulé Coningsby. La Jewish Encyclopedia, Vol. 10, pp. 501, 502, décrit le livre comme «  un portrait idéal et juste » de l’Empire Rothschild. Disraeli caractérisée Nathan (en conjonction avec ses quatre frères), comme « le seigneur et maître des marchés monétaires du monde et bien sûr pratiquement seigneur et maître de tout le reste. Il tenait littéralement les revenus du sud de l’Italie en gage, et monarques et ministres de tous les pays courtisés ses conseils et ont été guidés par ses suggestions.

Les coups financiers effectués par les Rothschild en Angleterre en 1815, et en France trois ans plus tard en 1818, ne sont que deux coups parmi les nombreux qu’ils ont mis en scène dans le monde entier au cours des années.

Il y a eu, cependant, un changement majeur dans les méthodes ou tactiques utilisées pour escroquer le public de leur argent durement gagné. Après s’être effrontément exposés au grand jour dans leur utilisation et l’exploitation des peuples et des nations, les Rothschild ont reculé du devant des projecteurs, et menèrent désormais leurs opérations à travers et derrière une grande variété de moyens déguisés.

Leur approche moderne est expliquée par le biographe Frédéric Morton: « Les Rothschild aiment briller Mais bien que ces gens soit des personnes socialement ambitieuses, Les Rothschild scintillent seulement à huis clos, et se réjouissent secrètement et parmi leur propre espèce ».

« Aujourd’hui, la famille cultive savamment l’inaudibilité et l’invisibilité de sa présence. Bien qu’ils contrôlent des dizaines de sociétés industrielles, commerciales, minières et touristiques, pas une seule ne porte le nom des Rothschild. Entité privée, les sociétés de la famille ne doivent jamais publier un seul bilan public ou tout autre rapport de leur la situation financière, ni même en faire » (The Rothschild, pp. 18, 19).

Un contemporain anonyme décrit Nathan Rothschild comme il se pencha contre le « Rothschild Piller » à la Bourse de Londres, mit ses lourdes mains dans ses poches, et commença à refaire silencieux, immobile, la ruse implacable :

« Les yeux sont généralement appelés les fenêtres de l’âme. Mais dans le cas de Rothschild vous concluriez que les fenêtres sont opaques, ou qu’il n’y avait pas d’âme à regarder à l’intérieur d’eux. Il ne vient pas un pinceau de lumière de l’intérieur, ni une lueur de ce qui vient de l’extérieur reflète dans toutes les directions. « 

Nathan, sur les instructions de son père, a déménagé à Londres et mis en place la boutique comme un banquier d’affaires. Pour l’opération en cours, Rothschild a donné à son fils les trois millions de dollars qu’il avait détournés de Guillaume de Hanau.

L’encyclopédie juive pour 1905 nous dit que Nathan investit le butin dans « l’or de la compagnie des Indes orientales en sachant qu’il serait nécessaire pour la campagne de la péninsule de Wellington. » Sur l’argent volé Nathan fit “pas moins que quatre bénéfices:

(1) sur la vente de l’article de Wellington [qu’il a acheté à 5 0 ¢ sur le dollar et recueilli au pair];

(2) sur la vente de l’or à la tonne Wellington

(3) sur son rachat; et

(4) sur la transmission au Portugal. « Ce fut le début des grandes fortunes de la maison » (p. 494).

La vérité de cette affirmation est démontrée par un autre passage du livre de Frédéric Morton. Il a raconté comment, en 1806, Napoléon déclara qu’il était sa raison pour enlever la maison de Hess- Cassel du pouvoir.

“Ainsi, l’homme le plus puissant de l’Europe a décrété l’effacement de la roche sur laquelle la nouvelle société Rothschild avait été construite. Pourtant, curieusement, Napoléon ne réussit pas. Guillaune de Hanau avait été le premier tremplin, Napoléon allait être le prochain “

La Maison des Rothschild aida à financer le dictateur français et, en conséquence, eut libre accès aux marchés français en tout temps. Quelques années plus tard, lorsque la France et l’Angleterre bloquaient les lignes de l’autre côte, les seuls marchands qui ont été autorisés à courir librement les barrages étaient, oui, vous l’avez deviné, les Rothschild. Ils finançaient les deux parties !

«Une des plus grandes contributions était nouvelle technique de Nathan pour faire flotter des prêts internationaux. Avant l’investisseur anglais avait été hésitant sur les projets étrangers. Il n’a pas beaucoup de soin de recevoir des dividendes dans toutes sortes de monnaies étranges et encombrants.” Maintenant, Nathan a attiré lui- la source la plus puissante d’investissement du dix-neuvième siècle, en faisant des obligations étrangères à payer en livres sterling ».

LA BATAILLE DE WATERLOO

Comme la richesse et la puissance des Rothschild avaient augmenté en taille et en influence, leur réseau de collecte de renseignements le fit aussi. Ils avaient leurs « agents » situés stratégiquement dans toutes les capitales et les centres commerciaux de l’Europe, la collecte et le développement de divers types d’intelligence. Comme la plupart des exploits de la famille, il a été basé sur une combinaison de travail très dur et de la pure ruse.

Leur système d’espionnage unique, a commencé quand “les garçons” ont commencé à s’envoyer des messages les uns aux autres par un réseau de passeurs. Bientôt, il se sont développés en quelque chose de beaucoup plus complexe, efficace et de grande envergure. C’était un réseau d’espionnage par excellence. Sa vitesse et son efficacité étonnante a donné les Rothschild un avantage décisif clair dans toutes leurs relations sur le plan international.

«Les informateurs de Rothschild sillonnaient les autoroutes, les bateaux Rothschild voguaient à la voile à travers la Manche. Les Agents des Rothschild étaient des ombres rapides le long des rues. Ils portaient des espèces, des titres, des lettres et des nouvelles. Surtout, les dernières nouvelles, exclusives, à traiter vigoureusement à la Bourse des matières premières.

“Et il n’y avait pas de nouvelles plus précieuses que le résultat de la bataille de Waterloo. . . “(Les Rothschild p. 94).

Du résultat de la bataille de Waterloo dépendait l’avenir du continent européen. Si la Grande Armée de Napoléon était sorti victorieuse, la France serait maître incontesté de tout le front européen. Si Napoléon était écrasé, dans sa soumission, l’Angleterre tiendrait l’équilibre du pouvoir en Europe et serait en mesure d’élargir considérablement sa sphère d’influence.

L’historien John Reeves, un partisan des Rothschild, révèle dans son livre Les Rothschild, Règles financières des Nations, de 1887, en page 167, que « une des causes de son succès (Nathan) était le secret avec lequel il enveloppait, et la politique tortueuse avec laquelle il induit en erreur ceux qui l’ont regardé en chair et en os « .

Il y avait de grandes fortunes à faire et à perdre sur le résultat de la bataille de Waterloo. La Bourse de Londres était à son comble alors que les traders attendaient l’issue de cette bataille. Si la Grande-Bretagne perdait, les consuls anglais (valeurs financières) seraient en chute libre à des profondeurs sans précédent. Si la Grande-Bretagne était victorieuse, la valeur du consul sauterait vers de nouveaux sommets vertigineux.

Nathan Rothschild avait travaille fiévreusement sur les deux côtés de la ligne pour recueillir les informations les plus précises possibles. Ses agents étaient sur place pour transporter les bulletins de renseignement à un poste de commandement Rothschild stratégiquement situé à proximité.

Tard dans l’après-midi du 19 Juin 1815, un représentant Rothschild a sauté à bord d’un bateau spécialement affrété et dirigé dans le canal de la Manche se précipita pour la côte anglaise. En sa possession était un rapport top secret des agents des services secrets de Rothschild sur les progrès de la bataille décisive. Ces données de renseignement se révéleraient indispensable à Nathan dans la prise des décisions vitales.

L’agent spécial a été accueilli à Folkestone le lendemain matin à l’aube par Nathan Rothschild lui-même. Après avoir scanné rapidement les faits saillants du rapport, Rothschild revint en direction de Londres et de la Bourse.

En arrivant à la Bourse, au milieu de la spéculation effrénée sur l’issue de la bataille, Nathan a pris sa position habituelle à côté du célèbre «pilier des Rothschild». Sans un signe d’émotion, sans le moindre changement de l’expression du visage, le silex chef yeux de la Chambre des Rothschild a donné un signal prédéterminé à ses agents qui étaient stationnés à proximité.

Les agents de Rothschild ont immédiatement commencé à déverser les consuls sur le marché. Comme il y avait des centaines de milliers de dollars de consuls versés sur le marché leur valeur a commencé à glisser. Puis ils ont commencé à chuter.

Nathan a continué de appuyer contre «son» pilier, impassibles, inexpressif. Il a continué à vendre, et vendre et vendre. Les Consuls continué à tomber. Une rumeur commença à balayer la Bourse: «Rothschild sait.” “Rothschild sait.” “Wellington a perdu à Waterloo!”

La vente se transforma en une panique et les gens se sont précipités pour décharger leur consols «sans valeur» ou de papier-monnaie d’or et d’argent dans l’espoir de conserver au moins une partie de leur richesse. Les consuls ont poursuivi leur dégringolade vers l’oubli. Après plusieurs heures de négociation fiévreuse le consul était en ruines. Il se vendait environ cinq cents sur le dollar. Soit 20 fois moins.

Nathan Rothschild, plus impassible et inexpressif que jamais, est resté toujours appuyé contre son pilier. Il a continué à donner des signaux subtils. Mais ces signaux étaient différents. Ils étaient si subtilement différent que seuls les agents Rothschild hautement qualifiés pourraient détecter le changement. Ils allèrent vers les bureaux de commande autour de la Bourse et achetèrent tous les Consuls en vue pour juste une bouchée de pain.

Peu de temps plus tard, la nouvelle «officielle» est arrivée dans la capitale britannique. L’Angleterre était maintenant le maître de la scène européenne.

En quelques secondes, le consul a monté en flèche au-dessus de sa valeur d’origine. Comme l’importance de la victoire britannique a commencé à couler dans la conscience publique, la valeur de consols rose toujours plus haut.

Napoléon avait «rencontré son Waterloo. Nathan avait acheté le contrôle de l’économie britannique. En moins de 24 heures son déjà immense fortune fut multipliée au moins vingt fois.

Conclusion

Tout au long de leur longue histoire les Rothschild ont fait de grands efforts pour créer l’impression qu’ils opèrent dans le cadre de la « démocratie ». Cette posture est calculée pour tromper, pour éloigner les gens du fait que leur véritable objectif est l’élimination de toute concurrence et la création d’un monopole dans le monde entier.

Aujourd’hui le centre névralgique mondial de la dynastie des Rothschild se trouve dans la City de Londres, forteresse inexpugnable et haut-lieu incontesté de la haute finance mondiale et du pouvoir de domination sur une grande partie du monde.

Algarath

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La Dynastie des Rothschild (3): Un beau coup en France en 1818

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Afin d’apporter aux lecteurs des éléments historiques qui les aideront à comprendre la trajectoire initiale des Rothschild commencée au 18ème siècle, je continue la saga qui, de Mayer Amschel Bauer fondateur de la dynastie, aux Rothschild aujourd’hui nous mène au sommet même de la domination mondiale par les banksters.

En droite ligne avec les méthodes peu ragoûtantes employées par leur père Mayer Amschel Bauer, fondateur de la dynastie des Rothschild en Allemagne et aussi par leur frère Nathan Rothschild en Angleterre, James (Jacob) et Karl réussirent un beau coup en France en 1818. Aujourd’hui les Rothschild sont toujours en France et de futurs articles relateront leurs activités.

L’argent extorqué à la France par ruse et machination par James (Jacob) et Karl Rothschild

Après leur défaite à Waterloo, les Français eurent du mal à se remettre sur leurs pieds financièrement. En 1817, ils négocièrent un prêt substantiel de la prestigieuse banque française Ouvrard et des banquiers bien connus Baring Brothers de Londres. Les Rothschild avaient été laissés à l’extérieur de la recherche, ignorés à dessein.

L’année suivante, le gouvernement français avait besoin d’un autre prêt. Comme les obligations émises en 1817 avec l’aide d’Ouvrard et de Baring Brothers avaient augmenté en valeur sur le marché de Paris, ainsi que dans d’autres centres financiers européens, il est apparu comme certain que le gouvernement français allait retenir les services de ces deux banques.

Les frères Rothschild ont essayé la plupart de leurs trucs habituels de leur vaste répertoire pour influencer le gouvernement français à leur donner le business. Leurs efforts ont été vains.

Les aristocrates français, qui se vantaient de leur élégance et de leur noble lignée supérieure, ont vu les Rothschild comme de simples paysans, des parvenus qui avaient besoin d’être remis à leur place. Le fait que les Rothschild avaient de vastes ressources financières, vivaient dans des maisons les plus luxueuses et étaient vêtus de vêtements coûteux ne plaisait pas à la noblesse française, très consciente de sa classe. Les Rothschild étaient considérés comme des gens frustes montrant un manque évident de grâce sociale et de classe.

Le 5 Novembre 1818, quelque chose de très inattendu survint. Après une année d’appréciation régulière de la valeur des obligations du gouvernement français, elles ont commencé à tomber. Avec chaque jour qui passait, la baisse de leur valeur devenait  plus prononcée. Dans un court espace de temps, d’autres titres publics ont commencé à souffrir aussi.

L’atmosphère dans la cour de Louis XVIII était soudain tendue. Les aristocrates espéraient le meilleur mais craignaient le pire ! Les seules personnes qui n’étaient pas profondément préoccupées étaient James et Karl Rothschild. Ils souriaient, mais ne disaient rien !

Lentement, un soupçon furtif commença à prendre forme dans l’esprit de certains observateurs sur ce qui se passait dans les marchés. Ce pourrait-il que les frères Rothschild soient directement la cause des malheurs économiques de la nation ? Auraient-ils secrètement manipulé le marché obligataire et fabriqué de toutes pièces l’ingénierie démoniaque à l’origine de la panique ?

Une méthode habituelle des Rothschild, encore utilisée aujourd’hui

Oui, bien sûr ! Au cours du mois d’Octobre 1818, les agents des Rothschild, en utilisant les réserves illimitées de leurs maîtres, avaient acheté d’énormes quantités d’obligations françaises d’État émises par leurs rivaux Ouvrard et Baring Brothers. Cela provoqua les effets nécessaires voulus pour augmenter leur valeur. Puis, le 5 Novembre 1818, ils ont commencé à liquider à la vente les obligations en grandes quantités sur le marché libre et dans les principaux centres commerciaux de l’Europe, en induisant une panique dans le marché. Plus les acquéreurs avaient acheté tardivement quand les prix étaient hauts, plus leurs pertes étaient considérables. La bulle fabriquée était monumentale, ruinant les investisseurs.

La création d’une bulle gigantesque, puis l’effondrement programmé de cette bulle a été une méthode employée lors de la crise de 1929-1932, celle du Nasdaq en 2000, celle des prêts subprimes en 2008, et c’est celle qui se déroule en ce moment. Actuellement très peu voient venir le danger, ou alors ils l’attribuent à une fatalité sans aucunement la relier à une machination démoniaque gigantesque des banksters. L’histoire se répète. La stratégie actuelle, semblable à celle qui fut employée en France en 1818, s’appelle le Greenspan Put. Nous l’expliquerons dans un article détaillé à venir, et à lire pour ceux qui veulent comprendre ce qui va arriver bientôt.

Revenons en France en 1818, qui marqua le succès de la ruse des Rothschild

Soudain, les choses évoluèrent très vite. Les Rothschild, qui avaient patiemment rongé leur frein et attendu tranquillement dans une antichambre, furent introduit en présence du Roi. Ils étaient maintenant le centre d’attention. « Leur argent était la coqueluche des meilleurs emprunteurs ». Les Rothschild avait pris le contrôle de la France.

Ils y sont encore aujourd’hui. Et s’emploient plus que jamais à nous délester en toute impunité de notre argent s’il y en a, mais ce qui appauvrit encore plus ceux qui n’en ont pas.

Algarath

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Cecil Roth : Histoire des Marranes, Juifs qui créèrent la City de Londres, fief des Rothschild

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Quand on veut trouver des sources indéniables et irréfutables sur la création de la City de Londres, il faut se fier à Cecil Roth (1899-1970). C’est un historien britannique.

Il étudie à Oxford et y soutient sa thèse en 1924. Il y est chargé de cours entre 1939 et 1964. Il devient ensuite professeur invité à l’université Bar-Ilan en Israël (1964-1965) et à la City University of New York (1966-1969). Cecil Roth est éditeur de l’Encyclopaedia Judaica de 1965 à sa mort. Son successeur a été Geoffrey Wigoder. Il compte plus de 600 travaux à son actif.

Pour ceux qui lisent l’anglais, allez télécharger un pdf de 164 pages «  History of the Marranos «  brillamment écrit et documenté par Cecil Roth.

Les Marranes déménagent pour l’Angleterre et la City de Londres

Au XVIIème siècle les Pays-Bas étaient une superpuissance financière, un peu comme Wall Street actuellement. A la fin du 16e siècle les pays se trouvant au Nord, en particulier la Hollande et l’Angleterre, étaient en train de diriger le commerce mondial et ce furent ces pays qui attirèrent à présent les marchands et financiers Marranos (Marranes), désirant fuir les persécutions de l’Inquisition en Espagne et au Portugal. Les Marranes étaient des Juifs qui avaient feints de se convertir pour sauver leur peau. Le crypto Judaïsme c’est cala, feindre de ne pas être Juif pour survivre bien souvent.

Ainsi donc se forma, à la fin du XVIème siècle la grande communauté espagnole et portugaise d’Amsterdam, celle de Londres en 1656, fruit des efforts suprêmes d’un certain Menasseh ben Israël qui joua un rôle essntiel.

Comment ? : Dès 1650, le puritain Oliver Cromwell, en Angleterre, désira faire basculer la puissance financière Hollandaise, détenue par les Marranes, vers la City de Londres. Entre le puritanisme et la Synagogue il y a une certaine communion de pensée, et Cromwell fit venir les Marranes d’Amsterdam vers la City. Il n’y avait pas avant eux de Juifs en Angleterre, car ils en avaient été expulsés en 1290. Le prophète Daniel ayant dit que la délivrance messianique aurait lieu quand les Juifs seraient disséminés dans le monde, le Grand Rabbin Menasseh ben Israël convainquit les Marranes de s’installer dans la City en Angleterre.

Impérialisme britannique + finance juive = Domination du Monde

Dès l’installation, terminée en 1656, c’est la grande alliance judéo-anglo-saxonne qui est lancée. L’impérialisme britannique, nourrie par la finance juive, va se lancer à la conquête du monde, Amérique du Nord y compris, en vue d’une gouvernance mondiale. Le monde anglo-américain n’est que l’outil de la Synagogue, tels que Cecil Roth, historien Juif, sujet de cet article ou Jacques Attali, Juif qui a dû lire le pdf,  l’ont exprimé de façon formelle et historique.

L’argent et la puissance militaire et géopolitique s’étaient alliés, il ne restait plus qu’à tisser un réseau de domination sur une grande partie du monde chez les politiciens, les journalistes, les leaders d’opinion et les industriels.

Alors bonne lecture. C’est un livre historique gratuit qui vous fera comprendre comment la City de Londres est devenue le centre de la haute finance mondiale, le sanctuaire des dominants oligarques et banquiers chercheurs de rente qui, de l’établissement de la dynastie des Rothschild avec Mayer Amschel Bauer au 18ème siècle, ses fils, et les actions de tout ce beau monde pendant plus de 200 ans, nous ont acculés à notre rôle subalterne de dominés.

Algarath

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La Dynastie des Rothschild (4) : Les Rothschild et l’Amérique

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Il serait extrêmement naïf de même envisager la possibilité qu’une famille aussi ambitieuse, et aussi rusée et monopolistique d’esprit que les Rothschild pourrait résister à la tentation de devenir fortement impliqués en Amérique.

Après leur conquête de l’Europe au début des années 1800, les Rothschild jetèrent leurs yeux avides sur le bijou le plus précieux de tous, les États-Unis.

L’Amérique était unique dans toute l’histoire du monde. Ce fut la seule nation sur terre qui n’ait jamais été formée avec la Bible comme son livre de droit. Sa magnifique Constitution a été spécialement conçue pour limiter le pouvoir du gouvernement et garder ses citoyens libres et prospères. Ses citoyens étaient essentiellement des immigrants industrieux qui « aspiraient à respirer librement » et qui ne demandaient rien de plus que de se voir donnés la possibilité de vivre et de travailler dans un environnement merveilleusement stimulant.

Les résultats de cette expérience unique étaient si indescriptiblement brillants que l’Amérique est devenu une légende dans le monde entier. Plusieurs millions de gens à travers les continents éloignés du monde ont vu Amérique comme la terre promise.

Les grands banquiers en Europe, les Rothschild et leurs cohortes d’agents, ont vu les résultats merveilleux supportés par cette expérience unique à partir d’une perspective totalement différente. Ils regardaient l’Amérique comme une menace majeure pour leurs plans futurs.

Le Times de Londres a déclaré: « Si cette politique financière espiègle qui avait son origine dans la République nord-américaine [honnête Constitutionnellement et sans argent pour la dette] devrait se développer chez d’autres nations, elles paierait leurs dettes et ne le feraient pas envers les banquiers internationaux. Elles deviendraient prospères au-delà de tout précédent dans l’histoire des gouvernements civilisés du monde ». Ce gouvernement, les Etats-Unis, doit être détruit ou il détruira toute monarchie sur le globe. « Les Rothschild et leurs amis furent envoyés dans leurs centres financiers pour détruire l’Amérique ».

La première preuve tangible d’implication des Rothschild dans les affaires financières des États-Unis est apparue à la fin des années 1820 et au début de 1830 quand la famille, par l’intermédiaire de leur agent, Nicholas Biddle, a lutté pour vaincre le mouvement de Andrew Jackson qui voulait limiter la puissance de ce « repaire de vipères «  qu’était les banquiers internationaux.

Les Rothschild ont perdu le premier round quand, en 1832, le président Jackson a opposé son veto pour renouveler la charte de la « Banque des Etats-Unis » (une banque centrale contrôlée par les banquiers internationaux). En 1836, la banque a fait faillite.

P L A N DE DESTRUCTION

Dans les années qui ont suivi l’indépendance, une relation étroite des entreprises américaines s’était développée entre l’aristocratie des producteurs de coton dans le Sud et les fabricants de coton en Angleterre. Les banquiers européens ont décidé que cette relation d’affaires était le talon d’Achille de l’Amérique, la porte par laquelle la jeune République américaine pourrait être attaquée avec succès et ne saurait surmonter.

L’histoire illustrée Université de 1878, p. 504, nous dit que les États du sud fourmillaient avec des agents britanniques. Ces gens conspiraient avec les politiciens locaux à travailler contre les intérêts des États-Unis. Leur propagande soigneusement semée et nourrie s’est développée en rébellion ouverte et a abouti à la sécession de la Caroline du Sud le 29 Décembre 1860. Dans les semaines six Etats ont rejoint la conspiration contre l’Union, et se détacha pour former les États confédérés d’Amérique, avec Jefferson Davis en tant que président.

Les comploteurs ont soulevé des armées, des forts, des arsenaux saisis, des pièces de monnaie et d’autres biens Union. Même les membres du Cabinet du Président Buchanan ont conspiré pour détruire l’Union en endommageant le crédit public et en travaillant à la faillite de la Nation.

Peu après Abraham Lincoln est devenu président le 4 Mars 1861. Lincoln a immédiatement ordonné un blocus sur les ports du Sud, et coupé les fournitures qui ne cessaient d’affluer de l’Europe. La date «officielle» pour le début de la guerre civile est donnée que le 12 Avril 1861, lorsque Fort Sumter en Caroline du Sud a été bombardé par les confédérés, mais il est évident qu’elle a commencé à une date beaucoup plus tôt.

En Décembre 1861, un grand nombre de troupes européennes (anglais, français et espagnol) sont arrivées au Mexique, au mépris de la doctrine Monroe. Ceci, ainsi que l’aide européenne généralisée à la Confédération est arrivée, et a fortement indiqué que la Couronne se préparait à entrer en guerre.

En cette heure de crise extrême, Lincoln fait appel à l’ennemi éternel de la Couronne, la Russie, pour de l’aide. Lorsque l’enveloppe contenant l’appel urgent de Lincoln a été donné au Tsar Nicolas II, il pesa ouvert dans sa main et a déclaré: « Avant d’ouvrir ce document ou son contenu savons, nous accordons toute demande qu’elle peut contenir. »

L’histoire révèle que les Rothschild étaient fortement impliqués dans le financement des deux côtés dans la guerre civile. Lincoln a mis un frein à leurs activités quand, en 1862 et 1863, il a refusé de payer les taux d’intérêt exorbitants exigés par les Rothschild et a émis, sans intérêt, des notes financières constitutionnellement autorisées des États-Unis. Pour cela et d’autres actes de patriotisme, Lincoln a été abattu de sang froid par John Wilkes Booth, le 14 Avril 1865.

La petite-fille de Booth, Izola Forrester, a déclaré que l’assassin de Lincoln avait été en contact étroit avec des Européens mystérieux avant le meurtre, et avait fait au moins un voyage en Europe. Après le meurtre, Booth a été emmené à la sécurité par les membres des Chevaliers du Cercle d’Or. Selon l’auteur, Booth a vécu pendant de nombreuses années après sa disparition.

LES BANQUIERS INTERNATIONAUX POURSUIVENT LEUR BUT

Sans se laisser démonter par leurs échecs initiaux pour détruire les Etats-Unis, les Banquiers internationaux ont poursuivi leur objectif avec un zèle implacable. Entre la fin de la guerre civile et 1914, leurs principaux agents aux États-Unis étaient Kuhn, Loeb and Co. et J.P. Morgan Co. Ils ont pris un jeune immigré allemand, Jacob Schiff, en tant que partenaire. Le jeune Schiff avait des liens financiers importants en Europe . Après dix ans, Jacob Schiff était chef de Kuhn Loeb and Co., Kuhn étant mort et Loeb a pris sa retraite.

« Les liens financiers importants en Europe » de Schiff étaient les Rothschild et leurs représentants allemands, M. M. Warburg, Société de Hambourg et d’Amsterdam. En  vingt ans, les Rothschild, grâce à leur connexion Warburg-Schiff, avait fourni le capital qui a permis à John D. Rockefeller d’étendre considérablement son empire de la Standard Oil. Ils ont également financé les activités d’Edward Harriman (Chemins de fer) et Andrew Carnegie (acier).

Au tournant du siècle, les Rothschild, pas satisfait des progrès accomplis par leurs opérations américaines, ont envoyé un de leurs meilleurs experts, Paul Moritz Warburg, à New York pour mener leur assaut sur le seul vrai champion de l’individu : la liberté et la prospérité, les Etats-Unis.

Au début de 1907, Jacob Schiff, agissant pour les Rothschild avec Kuhn, Loeb and Co., dans un discours à la Chambre de commerce de New York, a averti que « si nous avons une Banque centrale avec un contrôle adéquat des ressources de crédit, ce pays va éviter de subir la plus grave panique dans son histoire ».

Peu après, les États-Unis ont plongé dans une crise monétaire qui avait toutes les caractéristiques d’un travail de sape des Rothschild habilement planifié. La panique qui a suivi financièrement ruiné des dizaines de milliers de personnes innocentes à travers le pays et fait des milliards pour l’élite bancaire.

Le but de la «crise» était d’impressionner le peuple américain pour lui démontrer le « grand besoin d’une banque centrale ».

Dans leur sac des pratiques trompeuses, les banquiers internationaux ont tiré le plus grand coup à ce jour : la création de la «Federal Reserve System propriété privée, qui a placé le contrôle des finances des États-Unis en toute sécurité entre les mains de la puissance folle des accapareurs d’argent. Paul Warburg est devenu le premier président de la «Fed»!

Le Représentant au Congrès Charles Lindbergh a mis le doigt fermement sur la vérité quand il a déclaré, juste après que le Reserve Act de la « banque fédérale » ait été adopté par un Congrès appauvri le 23 Décembre 1913. « La Loi établit le plus gigantesque trust sur terre lorsque le Président Wilson signe ce projet de loi, le gouvernement invisible de la puissance monétaire sera légalisé. Le plus grand crime du Congrès est son système de change. Le pire crime législatif au cours des âges est perpétré par ce projet de loi bancaire et de la monnaie ».

Il avait 100% raison.

Algarath

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Qui est qui, qui fait quoi ? Qui sont les « élites » ?

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Je ne pense pas sincèrement qu’ils soient nombreux, ceux de ce côté-ci de la barrière qui sauraient tout des coulisses du système monstrueux par sa complexité et par ses buts pour nous dominer et asservir l’humanité.

Seuls ceux qui l’ont inventé, peaufiné, utilisé au cours des siècles et en profitent goulûment en ont une vision claire, même si comme je pense ce n’est pas une conspiration mais seulement une association ad hoc de malfaiteurs, un peu comme des gangs se partagent les territoires. À moi la prostitution, à toi la drogue, à lui les extorsions de fonds, etc.

Tout ce beau monde se régale sur notre dos, mais parfois s’affronte. Je pense par exemple que DSK a été la victime de la guerre des élites, piégé par l’establishment américain qui défendait son dollar, alors que lui prônait les SDR / DTS du FMI et des élites mondialistes financiarisées, les banksters qui siègent à la City de Londres, fief des Rothschild.

Pour nous, il convient d’essayer d’assembler le puzzle et on va forcément se tromper peu ou prou. Ne parlons pas de beaucoup d’entre nous qui ne s’y retrouvent pas bien, ou même pas du tout, dans cet imbroglio.

Ce site avec ses rubriques fonctionne comme une sorte d’Encyclopédie de la Dissidence, pour classer au bon endroit et inclure tous les thèmes qu’il faut maîtriser, et qui sont nombreux. Ce sont à la fois les rubriques du menu du site et leurs sous-rubriques. En toute modestie je ne crois pas qu’il y ait un seul autre outil ou site à un quelconque autre endroit de cette terre qui tente de fournir ce genre d’information. Et d’ailleurs c’est perfectible évidemment. On ne peut pas faire de miracle en moins d’un mois que ce site existe. La lecture des articles et aussi des commentaires aide à assembler le puzzle.

Ceux qui écriront dans leurs commentaires qu’ils ont tout compris, et on s’en réjouit pour eux, voudront bien écrire un long article à notre attention pour développer, entreprendre éventuellement un site comme ici, et aussi écrire pourquoi pas un eBook explicatif. C’est possible que des esprits éclairés aient en leur possession exclusive la clé du mystère qui nous intrigue tous. On en serait béats d’admiration.

Ce n’est pas dans cet article-ci que va se dévoiler toute l’histoire. Trop court. Il est vraisemblable qu’au fil des semaines et des mois la brume va se lever un peu plus en fréquentant notamment le site. Par contre il y a dès aujourd’hui des évidences indéniables, basées sur des ouvrages et des faits historiques reconnus et des indiscrétions, tout autant que des réflexions.

Je tente donc ma version actuelle, susceptible d’ailleurs d’évoluer dans le temps. Seuls les imbéciles ne changent pas d’avis.

Il y a 250 ans, en Allemagne

Tout part de Mayer Amschel Bauer, dit Rothschild, il y a à peu près 250 ans

On lira son histoire dans mes articles « La dynastie des Rothschild », j’en ai écrit 4 qui se suivent, de Mayer Amschel à Jacob, Nathan, et ce qu’ils ont fait aux Etats-Unis. Au cours de cette première centaine d’années, ils ont accumulé un volume d’argent considérable. Leur mainmise sur l’Amérique en 1910 avec leur allié et serviteur JP Morgan a créé la FED et mis la main sur l’industrie américaine, y compris le pétrole avec le Huguenot Rockefeller, car les Rockefeller ne sont pas Juifs pour ceux qui le croiraient.

En 100 ans et ayant ainsi faits, on a tellement d’argent qu’on peut tout se payer, industries, banques, et le reste. Plus personne peut vraiment nous dépasser. Tout est parti de là, et l’énorme proportion de la domination du monde est là.

Dès la création de la FED

Le système financier actuel avec le dollar qui remplace progressivement la livre anglaise comme monnaie mondiale et réserve de change, ainsi que la création des banques centrale et de la Banque des Règlements Internationaux de Bâle va s’imposer, et en 1944 Bretton-Woods marque la domination américaine.

Le centre du pouvoir mondial est à la City de Londres, avec les Rothschild. Les 8 familles font partie du premier cercle, mais pas du tout pour la même part. Les Etats-Unis sont le bras armé militaire et économique. Rockefeller, Kissinger, Soros, font aussi partie du premier cercle, Kissinger étant l’homme des Rockefeller et Soros celui des Rothschild.

Il est indéniable que les Rothschild sont au sommet le plus élevé de la domination financière mondiale.

Aux Etats-Unis, 3 groupes se partagent le pouvoir : L’establishment, typiquement américain, l’état profond qui rend compte aux élites mondiales financiarisées (1/3 aux US, 2/3 dans le reste du monde), et des groupes de pression comme les néo-conservateurs, majoritairement Juifs et bi nationaux. Aux US encore, l’AIPAC (Juifs), le complexe militaro-industriel sont des groupes de pouvoir, tout comme la CIA qui fait partie de l’état profond.

Des clubs existent pour mettre en contact les puissant des différents groupes : Le Bilderberg, la Trilatérale de Rockefeller, Le Council en Foreign Relations.

Dans le reste du monde des groupes puissants multiples se partagent le pouvoir de façon ad hoc : Les Jésuites, les socialistes Fabian, les Francs-Maçons. En France le club Le Siècle rassemble ceux qui comptent dans la domination sur les masses.

Tous les secteurs qui paient sont investis quasiment totalement par les élites : Big Pharma, les semences, le complexe agro-alimentaire. Par dessus tout la dette mondiale accumulée est la première stratégie des élites mais il y en a une tripotée, allez donc voit les sous-rubriques sur le site en-dessous de stratégies élites !

Ce qu’il faut retenir pour ce premier essai succinct, c’est que les 8 familles, dont surtout les Rothschild sont depuis la City de Londres les maîtres du monde avec leur système financier actuel.

Les autres sont des hyènes aussi, qui se partagent industries et bons business, et pour ce faire se réservent aussi des parts de butin.

Et Israël dans tout ça ? Les sionistes surtout. Ils profitent des positions de l’AIPAC et autres associations dans le monde y compris en France, des néo-conservateurs américains. Ils sont indéniablement un groupe d’influence de ce fait. Ils ont un lobby puissant aussi.

Et nous dans tout ça, vous et moi ? Eh bien, on vient de créer un site et on tente de l’animer ensemble.

Algarath

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Le cartel de la réserve fédérale: les huit familles

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Le cartel de la réserve fédérale: les huit familles

 
Les quatre cavaliers du système bancaire américain (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes européens de l’argent. Mais leur monopole sur l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers.

D’après les déclarations d’entreprise 10K enregistrées avec la SEC (NdT: la commission des cotations boursières, le “shériff” de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre cavaliers de la banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le ghotta du Fortune 500 [1]

Alors qui sont donc les actionaires de ces banques centralisant l’argent ? Cette information est gardée de manière plus ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la question de savoir qui possède les actions des top 25 compagnies américaines tenant les actions des banques ont initialement reçu un status couvert par le Freedom of Information Act (NDT: loi sur la liberté de l’information, qui aux Etats-Unis prévoit d’empêcher le secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert de raisons de “sécurité nationale”. Ceci est très ironique, sachant que bon nombre d’actionnaires résident en Europe.

Un des monument de la richesse de l’oligarchie globale qui possède ces compagnies de holding bancaire est la US Trust Corporation, fondée en 1853 et maintenant propriété de Bank of America. Un des récents directeurs de l’US Trust Corporation et administrateur honoraire était Walter Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel Davison de JP Morgan Chase, Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts de Citigroup et Marshall Schwartz de Morgan Stanley. [2] J.W. McCalister, un membre éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées dans la maison des Saouds, écrivit dans le Grim Reaper, qu’il a obtenu des informations de banquiers saoudiens, qui citaient le fait que 80% de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante branche de la réserve fédérale, étaient détenus par juste huit familles, dont quatre résident aux Etats-Unis. Ce sont les familles Goldman Sachs, Rockefellers, Lehmans et Kuh Loebs de New York, les Rothschild de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourd, les Lazards de Paris et les Israël Moses Seifs de Rome.

CPA Thomas D. Schauf confirme les dires de McCallister, ajoutant que 10 banques contrôlent les douze branches de la réserve fédérale. Il nomme N.M Rothschild de Londres, Rotshschild Bank de Berlin, la banque Warburg de Hambourg, la banque Warburg d’Amsterdam, Lehmans Brothers de New York, Lazard Brothers de Paris, la banque Kuhn Loeb de New York, la banque Israel Moses Seif de Rome, Goldman Sachs de New York et la banque JP Morgan Chase de New York. Schauf également cite William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff et James Stillman comme étant les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la réserve fédérale. [3] Les Schiffs sont étroitement liés à Kuhn Loeb, les Stillmans de Citigroup, qui se marrièrent dans le clan Rockefeller au début du siècle.

Eustace Mullins arriva aux même conclusions dans son livre “Les secrets de la réserve fédérale”, dans lequel il montre des diagrammes connectant la Fed et ses banques membres avec les familles Rothschild, Warburg, Rockefeller et autres. [4] Le contrôle exercé par ces familles sur l’économie globale ne peut pas être exagéré et est couvert volontairement du sceau du secret. Leur bras médiatique est prompt à discréditer toute information exposant ce cartel de banques privées comme étant une “théorie du complot”. Pourtant, les faits demeurent.

La maison Morgan

La banque de la réserve fédérale est née en 1913, la même année que mourut J. Pierpont Morgan et que la fondation Rockefeller fut créée. La maison Morgan présidait sur la finance américaine depuis le coin de Wall Street et Broad, agissant déjà en quasi banque centrale américaine depuis 1838, quand Georges Peabody la fonda à Londres.

Peabody était un partenaire d’affaires des Rothschilds. En 1952, l’enquêteur sur le Fed Eustace Mulins émit la suposition que les Morgans n’étaient de fait que les agents de Rothschild. Mullins écrivit que les Rothschilds “…préféraient opérer de manière anonyme aux etats-Unis derrière la façade de la JP Morgan and co”. [5] L’écrivain Gabriel Kolko écrivit “Les activités des Morgan en 1895-96 à vendre des bons du trésor or américains en Europe étaient basées sur une alliance avec la maison Rothschild.” [6]

La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses tentacules autour du monde. Morgan Grenfell opérait depuis Londres. Morgan et Ce depuis Paris. Les cousins des Rothschilds Lambert montèrent Drexel et compagnie à Philadelphie.

La maison des Morgans étaient impliquées avec les Astors, DuPonts, Guggenheims, Vanderbilts et les Rockefellers. Elle finança le lancement de AT&T, de General Motors, General Electric et DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild et Barings, Morgan devint partie prenante dans la structure de bon nombre de pays.

Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque centrale d’Egypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les obligations du gouvernememt provincial du Brésil et finançait des travaux publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la puissance financière de Morgan. Cette année là, Morgan sauva les Etats-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour remonter les réserves fédéralesavec un envoi d’une valeur de 62 millions de dollars d’or des Rothschilds. [7]

Morgan fut la force motrice derrière l’expansion occidentale des Etats-Unis, finançant et contrôlant les chemins de fer qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de fer centraux de New York, financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan donnèrent des prix préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole pétrolier de la Standard Oil, scellant ainsi la relation Rockefeller/Morgan.

La maison Morgan alors tombe sous le contrôle familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame “Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque”. J. Pierpont Morgan qui déclara un jour “la compétition est un pêché” se réjouissait maintenant, “pensez un peu que tout le traffic ferrovière en compétition à l’Ouest de St Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine d’hommes.” [8] Morgan et le banquier de d’Edward Harriman Kuhn Loeb obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard rejoignaient les Rockefellers à contrôler la base industrielle états-unienne. [9]

En 1903, les huit familles établirent le Banker’s Trust. Benjamin Strong du même organisme fut le premier gouverneur de la banque de la réserve fédérale de New York. La création de la réserve fédérale en 1913 fusionna la puissance des huit familles à la puissance militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si leurs prêts internationaux n’étaient pas repayés, les oligarques pouvaient maintenant déployer les fusiliers marins américains (NdT: traduction la plus proche pour “US Marines ») pour collecter les dettes. Morgan, Chase et Citibank formèrent une alliance internationale syndiquée de prêteurs sur gage.

La maison Morgan était dans les petits papiers de la maison Windsor britannique et de la maison italienne de Savoie. Les Kuh Loebs, Warburgs, Lehmans, Lazards, Israël Moses Seifs et Goldman Sachs étaient également très proches des maisons royales européennes. Dès 1895, Morgan contrôlait le flot d’or qui entrait et sortait des Etats-Unis. La première vague des fusions américaines étaient dans sa prime enfance et était promue par les banquiers. En 1897, il y eut 69 fusions d’entreprises industrielles. En 1899, il y en eut 1200. En 1904, John Moody, le fondateur de Moody’s Investor Services, dit qu’il était alors impossible de séparer les intérêts des Rockefellers et des Morgans. [10]

La méfiance du public envers l’alliance se propagea. Beaucoup les considéraient comme des traitres à travailler avec le vieux système financier européen. La Standard Oil de Rockefeller, les aciers américains de Andrew Carnegie et les chemins de fer de Edward Harriman étaient tous financés par le banquier Jacob Schiff de  Kuhn Loeab, qui lui travaillait en relations étroites avec les Rothschilds d’Europe.

Plusieurs états de l’ouest des Etats-Unis banirent les banquiers. Le populiste William Jennings Bryan fut trois fois le candidat présidentiel démocrate de 1896 à 1908. Le thème central de sa campagne anti-impérialiste fut de dire aux citoyens que les Etats-Unis étaient en train de tomber dans le piège de “l’esclavage financier au capital britannique”. Teddy Roosevelt battît Bryan en 1908, mais fut forcé à la suite de ce feu de brousse anti-impérialiste de faire passer le décret anti-trust. Il s’attaqua ensuite au trust de la la Standard Oil.

En 1912 eurent lieu les auditions Pujo, qui s’occupèrent des concentrations de pouvoir à Wall Street. La même année, Mme Harriman vendît ses parts substantielles de la banque du New York Guaranty Trust à J.P Morgan, créant ainsi Morgan Guaranty Trust. Le juge Louis Brandeis convainquît le présidfent Woodrow Wilson de terminer les situations d’inter-relations de comités directeurs. La loi anti-trust Clayton fut passée en 1914.

Jack Morgan le fils et successeur de J. Piermont, répliqua en demandant aux clients de Morgan Remington et Winchester d’augmenter la production d’armement. Il décida que les Etats-Unis devaient entrer dans la première guerre mondiale. Pressé par la fondation Carnégie et d’autres instances de l’oligarchie, Wilson céda. Comme Charles Tansill écrivit dans “L’Amérique s’en va en guerre”: “Même bien avant que la poudre ne parle, la firme française des frères Rothschild câbla à Morgan and co à New York suggérant le flottement d’un prêt de 100 millions de dollars, dont une partie substantielle serait laissée aux Etats-Unis pour payer les dépenses françaises pour des achats de produits américains.”

La maison Morgan finança la moitié de l’effort de guerre américain, tout en recevant des commissions pour avoir introduit des sous-traitants comme General Electric, DuPont, les aciers Américain, Kennecott et ASARCO. Tous étaient des clients de Morgan. Morgan finança également la guerre des Boers britannique en Afrique du Sud et la guerre franco-prussienne. La conférence de la paix de Paris en 1919 fut présidée par Morgan, qui mena les efforts de reconstruction à la fois de l’Allemagne et des alliés. [11]

Dans les années 1930, le populisme refît surface après que Goldman Sachs, Lehman et autres banques eurent profité du crash de 1929. [12] Le président du comité bancaire du parlement américain Luois McFadden (démocrate-New York) dit de la grande dépression: “ce ne fut pas un accident. Ce fut planifié… Les banquiers internationaux pensèrent à créer une situation de désespoir afin de pouvoir en émerger comme nos dirigeants absolus.”

Le sénateur Gerald Nye (démocrate-Dakota du nord) présida une enquête sur les munitions en 1936. Nye conclua que la maison Morgan précipita les etats-unis dans la première guerre mondiale pour protéger des emprunts et pour créer un essort de l’industrie de l’armement. Nye produisit plus tard un document dont le titre était “La prochaine guerre”, qui réferrait cyniquement au “truc de le vielle déesse démocratie”, par lequel le Japon pourrait-être dupé dans une seconde guerre mondiale. En 1937, le secrétaire à l’intérieur Harold Ickes, mit en garde de “l’influence des 60 familles américaines”. L’historien Ferdinand Lundberg plus tard écrivit un livre ayant le même titre. Le juge de la cour suprême de justice William O. Douglas décria “l’influence de Morgan… la plus pernicieuse dans la finance et l’industrie aujourd’hui.”

Jack Morgan répondit en rapprochant les Etats-Unis de la seconde guerre mondiale. Morgan avait des relations très étroites avec les familles Iwasaki et Dan, les clans les plus riches du Japon, qui possédaient Mitsubishi et Mitsui respectivement, depuis que ces deux compagnies émergèrent des shogunats du XVIIème siècle. Quand le Japon envahit la Manchourie et massacra les paysans de Nankin, Morgan minimisa l’incident. Morgan avait aussi d’étroites relations avec le fasciste italien Benito Mussolini, tandis que le nazi allemand Dr. Hjalmer Schacht était la liaison entre la banque Morgan et l’allemagne durant la seconde guerre mondiale. Après la guerre, les représentants de Morgan rentrèrent Schacht à la Bank for International Settlements (BIS) à Bâle en Suisse. [13]

La maison Rockefeller

La BIS est la banque la plus puissante du monde, une banque centrale globale pour les huit familles qui contrôlent les banques centrales de presque toutes la nations occidentales et des pays en voie de développement. Le premier président de la BIS fut le banquier de Rockefeller Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank et de la réserve fédérale. McGarrah était le grand-père de l’ex-directeur de la CIA Richard Helms. Les Rockefellers, tout comme les Morgans, avaient des relations très étroites avec Londres. David Icke écrit dans “Les enfants de la matrix”, que les Rockefellers et les Morgans n’étaient que des “prête-noms” pour les Rothschilds. [14]

La BIS est une propriété de la réserve fédérale, de la banque d’angleterre, de la banque d’italie, banque du canada, banque de suisse, banque de hollande, banque fédérale allemande et la banque de france..

L’historien Carroll Quigley écrivit dans son épique livre “Tragédie et Espoir” que la BIS faisait partie d’un plan, celui de “créer un système mondial de contrôle financier dans des mains privées et capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie du monde dans son entiereté… un contrôle s’exerçant de manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert à travers des accords secrets.” Le gouvernement américain avait une méfiance historique à l’égard de la BIS, et fit pression sans succès pour qu’elle soit abandonnée en 1945 à la conférence de Bretton-Woods. Au contraire de cela, la puissance des huit familles fut exacerbée avec la création par la conférence de Bretton-Woods du FMI et de la banque mondiale. Le banque fédérale américaine ne prit des parts à la BIS qu’en Septembre 1994. [15]

La BIS détient au moins 10% des fonds de réserve d’au moins 80 banques centrales au monde, du FMI et autres institutions multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les accords internationaux, collecte les informations sur l’économie globale et sert de prêteur ou de dernier rempart pour éviter un effondrement financier global général. La BIS fait la promotion d’un agenda de fascisme monopolistique capitaliste. Elle donna un prêt de soudure à la Hongrie dans les années 1990 pour assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle servit de canal de financement d’Adolf Hitler pour les huit familles, emmené par Henry Schroeder des Warburgs et la banque Mendelsohn d’Amsterdam. Un certain nombre de chercheurs assument que la BIS est en fait le centre du blanchiement d’argent du traffic de drogue global. [16]

Ce n’est pas une coïncidence si la BIS a son QG en Suisse, la cache financière préférée pour la richesse de l’aristocratie globale et quartier général de la loge franc-maçonne P2 italienne Alpina et Nazi International. D’autres institutions que contrôlent les huit familles inclues le Forum Economique Mondial (Davos NdT), la Conférence Mnnétaire Internationale et l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).

Bretton Woods fut une aubaine pour les huit familles. Le FMI et la banque mondiale étaient centrales à ce “Nouvel Ordre Mondial”. En 1944, les premiers bons de la banque mondiale furent amenés par Morgan Stanley et la First Boston. La famille française Lazard devint plus impliquée dans les intérêts de la maison Morgan. Lazard Frères, la banque d’investissement la plus importante de France, est la propriété de Lazard et des familles David-Weill, vieille tradition bancaire de Gênes représentée par Michelle Davive. Un directeur récent et PDG de Citigroup fut Sanford Weill.

En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque basée à Bruxelles spécialisée dans le système de négoce des sécurités Eurodollar. Ce fut la première aventure automatique. Certains appelèrent Euro-Clear “la bête”. Bruxelles sert de QG pour la nouvelle banque centrale européenne (BCE) et pour l’OTAN. En 1973, les officiels de Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour opérer la résurrection illégale de la vieille maison Morgan, 20 ans avant que la loi Glass Steagal fut abandonnée. Morgan et les Rockefeller donnèrent l’apport financier de départ pour Merrill Lynch, la propulsant dans le top 5 des banques d’investissement américaines. Merrill Lynch est maintenant une partie de Bank of America.

John D. Rockefeller utilisa sa richesse du pétrole pour acquérir Equitable Trust, qui avait absorbé plusieurs grandes banques et entreprises dans les années 1920. La grande dépression de 1929 aida Rockefeller à consolider sa puissance. Sa banque Chase, mergea avec la banque de Manhattan de Kuhn Loeb pour former la banque Chase Manhattan, ainsi cimentant une relation familiale de longue durée. Les Kuhn-Loeb avaient financé, avec les Rothschilds, la quête de Rockefeller pour devenir le roi du pétrole. La banque National City Bank de Cleveland donna les fonds à John D. Rockefeller dont il avait besoin pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie pétrolière américaine. La banque fut identifiée dans une enquête du congrès comme étant une des trois banques des Rothschilds aux Etats-Unis dans les années 1870; quand John D. créa pour la première fois la Standard Oil dans l’état de l’Ohio. [17]

Un des associés de Rockefeller dans la Standard Oil était Edward Harkness dont la famille fut amenée à contrôler Chemical Bank. Un autre fut James Stillman, dont la famille contrôlait Manufacturers Hanover Trust, Les deux banques ont mergé sous l’ombrelle de JP Morgan Chase. Deux des filles Stillman marièrent deux des fils de William Rockefeller. Les deux familles contrôlent une grosse part de Citigroup également. [18]

Dans les affaires des assurances, les Rockefellers contrôlent Metropolitan Life, Equitable Life, Prudential and New York Life. Les banques de Rockefeller contrôlent 25% de tous les biens des 50 plus grandes banques commerciales des Etats-Unis et 30% de tous les biens des 50 plus grosses compagnies d’assurance aux Etats-Unis. [19] Les compagnies d’assurance, la première aux Etats-Unis fut créée par les franc-maçons, jouent un rôle important dans la donne de l’argent de la drogue aux Bermudes.

Les entreprises sous contrôle des Rockefeller incluent Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoran, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Honeywell, International Paper, Pfizer, Mororola, Monsanto, Union Carbide et General Foods.

La fondation Rockefeller a des liens très étroits avec les fondations Carnegie et Ford. D’autres aventures philanthropiques de la famille incluent le fond des fréres rockefeller, Rockefeller Institute for Medical Research, General Foundation Board, Rockefeller University et l’Université de Chicago, qui vomit régulièrement un flot continue d’économistes d’extrême droite, apologistes du capital international, incluant Milton Friedman.

La famille possède 30 Rockefeller Plaza, où l’arbre de Noël national est allumé chaque année et le Centre Rockefeller. David Rockefeller fut instrumental dans la construction des tours du WTC. La maison de famille des Rockefeller est un complexe dans la partie bourgeoise de New York appelée Pocantico Hills. Ils possèdent également un duplex de 32 pièces sur la 5ème avenue à Manhattan, un manoir à Washington DC, le ranch Monte Sacro au Vénézuéla, des plantations de café en Equateur, plusieurs fermes au Brésil, une grande propriété à Seal Harbor, dans le Maine et des stations balnéaires dans les Caraïbes, Hawaïï et à Porto Rico. [20]

Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles créa la CIA, assista les nazis, couvra l’assassinat de Kennedy de la commission Warren et fît une alliance avec la confrérie des Frères Musulmans pour créer des assassins conditionnés. [21]

Son frère John Foster Dulles, fut président des trusts bidon de la Goldman Sachs avant l’effondrement de la bourse en 1929 et aida son frère à renverser des gouvernements au Guatémala et en Iran. Tous deux étaient membres de la société secrète Skull & Bones, du Conseil en Relation Etrangère (CFR) et franc-maçons au 33ème degré. [22]

Les Rockefellers furent instrumentaux pour former le club de Rome et son agenda de dépopulation, dans leur propriété familale de Bellagio en Italie. Leur propriété de Pocantico Hills donna naissance à la Commission Trilatérale. La famille est une pourvoyeuse de fonds importante pour le mouvement eugéniste, qui accoucha d’Hitler, du clonage humain et de la forme courante d’obsession génétique sur l’ADN qui court dans les cercles scientifiques américains.

John Rockefeller Junior fut à la tête du conseil de la population jusqu’à sa mort. [23] Son fils du même nom est un sénateur élu pour la Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut lieutenant gouverneur d’Arkansas et demeure l’homme le plus puissant de cet état. Dans une interview avec le magazine Playboy en Octobre 1975, le Vice-président Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de l’état de New York, articula les vues globalistes et arrogantes de sa famille de cette façon: “Je crois absolument dans une planification mondiale totale de l’économie, des affaires sociales, de la politique, de l’armée…”

Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le fondateur de la commission trilatérale et président de la banque Chase Manhattan David qui propulsa l’agenda fasciste de la famille sur la scène globale. Il défendît le Shah d’Iran, le régime d’apartheid d’Afrique du Sud, et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il fut le plus grand financier du CFR, de la commission trilatérale et (pendant la guerre du Vietnam), du comité pour une paix effective et durable en Asie, une aventure affairiste pour ceux qui faisaient leur argent et vivaient du conflit.

Nixon lui proposa d’être son secrétaire au trésor (ministre des finances, NdT), mais Rockefeller déclina l’offre, sachant que sa puissance était bien supérieure en étant à la tête de la banque Chase Manhattan. L’écrivain Gary Allen écrivit dans son livre “Le dossier Rockefeller” en 1973: “David Rockefeller a rencontré 27 chefs d’état, incluant les dirigerants de la Chine et de l’URSS.”

En 1975, après Le coup de la Nugan Hand Bank et de la CIA contre le premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur nommé par la couronne britannique se dépêcha d’aller aux Etats-Unis où il rencontra Gerald Ford après avoir rencontré David Rockefeller. [24]

[à suivre…]
Article original en anglais : The Federal Reserve Cartel: The Eight Families, publié le 1er juin 2011.

Traduction : Résistance 71

[1] 10K Filings of Fortune 500 Corporations to SEC. 3-91

[2] 10K Filing of US Trust Corporation to SEC. 6-28-95

[3] “The Federal Reserve ‘Fed Up’. Thomas Schauf. www.davidicke.com  1-02

[4] The Secrets of the Federal Reserve. Eustace Mullins. Bankers Research Institute. Staunton, VA. 1983. p.179

[5] Ibid. p.53

[6] The Triumph of Conservatism. Gabriel Kolko. MacMillan and Company New York. 1963. p.142

[7] Rule by Secrecy: The Hidden History that Connects the Trilateral Commission, the Freemasons and the Great Pyramids. Jim Marrs. HarperCollins Publishers. New York. 2000. p.57

[8] The House of Morgan. Ron Chernow. Atlantic Monthly Press NewYork 1990

[9] Marrs. p.57

[10] Democracy for the Few. Michael Parenti. St. Martin’s Press. New York. 1977. p.178

[11] Chernow

[12] The Great Crash of 1929. John Kenneth Galbraith. Houghton, Mifflin Company. Boston. 1979. p.148

[13] Chernow

[14] Children of the Matrix. David Icke. Bridge of Love. Scottsdale, AZ. 2000

[15] The Confidence Game: How Un-Elected Central Bankers are Governing the Changed World Economy. Steven Solomon. Simon & Schuster. New York. 1995. p.112 [16] Marrs. p.180

[17] Ibid. p.45

[18] The Money Lenders: The People and Politics of the World Banking Crisis. Anthony Sampson. Penguin Books. New York. 1981

[19] The Rockefeller File. Gary Allen. ’76 Press. Seal Beach, CA. 1977 http://www.globalresearch.ca/PrintArticle.php?articleId=25080 Page 7 of 8 The Federal Reserve Cartel: The Eight Families   6/2/11 9:26 AM

[19] The Rockefeller File. Gary Allen. ’76 Press. Seal Beach, CA. 1977

[20] Ibid

[21] Dope Inc.: The Book That Drove Kissinger Crazy. Editors of Executive Intelligence Review. Washington, DC. 1992

[22] Marrs.

[23] The Rockefeller Syndrome. Ferdinand Lundberg. Lyle Stuart Inc. Secaucus, NJ. 1975. p.296

[24] Marrs. p.53

Dean Henderson est l’auteur de « Big Oil & Their Bankers in the Persian Gulf: Four Horsemen, Eight Families & Their Global Intelligence, Narcotics & Terror Network and The Grateful Unrich: Revolution in 50 Countries.»
Son blog :  
www.deanhenderson.wordpress.com

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Dynastie des Rothschild (5) : l’histoire et plus récemment

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Encore un peu plus grâce à Dean Anderson.

En 1789, Alexandre Hamilton devint le premier secrétaire au trésor (ministre des finances) des Etats-Unis d’Amérique. Hamilton était un des nombreux pères fondateurs qui étaient francs-maçons. Il avait des relations étroites avec la famille Rothschild, qui était propriétaire de la Banque d’Angleterre et était le leader du mouvement franc-maçon européen. Georges Washington, Benjamin Franklin, John Jay, Ethan Allen, Samuel Adams, Patrick Henry, John Brown, et Roger Sherman étaient tous francs-maçons. Roger Livingston aida Sherman et Franklin a écrire la déclaration d’indépendance des Etats-Unis. Il donna à George Washington ses voeux de prises de fonction alors qu’il était le grand maître de la grande loge maçonnique de New York. Washington lui-même était le grand maître de la loge de Virginie. Des généraux de la révolution américaine, 33 étaient des francs-maçons.

Ceci était très symbolique puisque les maçons du 33ème degré deviennent Illuminés. [1]Les pères fondateurs populistes emmenés par John Adams, Thomas Jefferson, James Madison et Thomas Paine, dont aucun d’entre eux n’était franc-maçon, voulaient couper complètement les ponts avec la couronne britannique, mais furent subjugués par la faction maçonnique emmenée par Washington, Hamilton et le grand maître de la loge St Andrews de Boston, le général Joseph Warren, qui voulurent “défier le parlement, mais rester loyal à la couronne.” La loge St Andrews était au cœur de la franc-maçonnerie du nouveau monde et commença à distribuer des degrés de chevaliers du temple en 1769.[2]

Toutes les loges maçonniques américaines sont jusqu’à aujourd’hui garanties par la couronne britannique, qu’elles servent en tant que centre de renseignement global et de réseau de contre-révolution et de subversion. Leur initiative la plus récente est le programme maçonnique d’identification infantile (CHIP pour Child Identification Program). D’après Wikipédia, les programmes CHIP donnent l’opportunité aux parents de créer gratuitement un kit de matériaux d’identification de leur enfant. Ce kit contient une carte avec les empreintes digitales, une description physique, une vidéo, un DVD de l’enfant, une impression dentaire et un échantillon d’ADN.

Le premier congrès continental se rassembla à Philadelphie en 1774 sous la présidence de Peyton Randolph, qui succéda à Washington comme grand maître de la loge de Virginie. Le second congrès eut lieu en 1775 sous la présidence du franc-maçon John Hancock. Le frère de Peyton, William, lui succéda comme grand maître de la loge et devint le chef de file des supporteurs de la centralisation et du fédéralisme à la première convention de 1787. Le fédéralisme qui est au cœur de la constitution américaine est identique au fédéralisme exprimé dans la constitution franc-maçonne Anderson de 1723. William Randolph devint le premier ministre de la justice de la nation et secrétaire d’état de Georges Washington.

Sa famille retourna en Angleterre, loyale à la couronne. John Marshall, le premier juge de la cour suprême de la nation était aussi un franc-maçon.[3]

Quand Benjamin Franklin voyagea en France pour trouver un financement pour les révolutionnaires américains, tous ses meetings eurent lieu dans les banques Rothschild. Il passa des contrats d’armement avec le franc-maçon allemand le baron Von Steuben. Ses comités de correspondance opéraient au travers des couloirs de communication maçonniques et étaient en parallèle d’un réseau d’espionnage britannique.

En 1776, Franklin devint le de facto ambassadeur en France. En 1779, il devînt le grand maître de la loge française des Neuf Sœurs, à laquelle appartenaient John Paul Jones et Voltaire. Franklin était aussi un membre de la plus secrète loge royale des commandeurs du temple ouest de Carcassonne, dont un des membres était Frederick Prince de Galles. Tandis qu’il prêchait la tempérance aux Etats-Unis, il s’encanaillait allègrement avec ses frères de loge en Europe. Franklin servit de 1750 à 1775 comme receveur général, un rôle souvent relégué aux espions britanniques.[4]

Avec le financement de Rothschild, Alexandre Hamilton fonda deux banques à New York, dont la banque de New York.[5] Il mourut dans un duel au pistolet avec Aaron Burr, qui fonda la banque de Manhattan avec l’aide financière de Kuhn Loeb. Hamilton incarnait le dédain que les huit familles vouaient au commun des gens en disant: “Toutes les communautés se divisent entre le peu et le nombreux. Les premiers sont les riches et les bien-nés, les autres, la masse du peuple… Les gens sont turbulents et changent sans cesse; ils ne peuvent bien juger que très rarement. Il faut donc donner à la première classe une part distinctive et permanente du pouvoir. Ils équilibreront le manque de stabilité de la seconde classe.”[6]

Hamilton ne fut que le premier d’une série de huit familles inféodées à devenir secrétaire au trésor (ministre des finances). Plus récemment, le secrétaire au trésor de Kennedy était Douglas Dillon, venant de la famille Dillon Read (maintenant partie de UBS Warburg). Les secrétaires de Nixon David Kennedy et William Simon provenaient respectivement de la banque continentale de l’Illinois (maintenant sous contrôle de la Bank of America) et Salomon Frères (aujourd’hui partie de Citigroup). Le secrétaire au trésor de Carter Michaël Blumenthal venait de Goldman Sachs, celui de Ronald Reagan, Donald Reagan, venait de Merrill Lynch (maintenant Bank of America), celui de Bush père Nicholas Brady venait de Dillon Read (UBS Warburg), les deux secrétaires au trésor de Clinton et de Bush fils, respectivement Robert Rubin et Henry Paulson venaient de Goldman Sachs; Tim Geithner sous Obama venait de Kissinger Associates et ancien président de la banque fédérale de New York.

Thomas Jefferson a toujours défendu l’idée que les Etats-Unis devaient avoir une banque centrale publique de telle sorte que les monarques européens et les aristocrates ne puissent pas utiliser l’impression de la monnaie pour contrôler les affaires de la nation. Jefferson faisant preuve de vision déclara: “Un pays qui attend de rester ignorant et libre, attend ce qui n’a jamais existé et n’existera jamais. Il n’y a pas un roi sur cent qui, s’il le pouvait, ne suivrait pas l’exemple des pharaons en prenant d’abord tout l’argent du peuple, puis toutes les terres pour faire du peuple et de ses enfants ses serviteurs à tout jamais… Les établissements banquiers sont plus dangereux que les armées ennemies. Ils ont déjà levé une aristocratie de l’argent.” Jefferson observa la prise de contrôle des Etats-Unis par la conspiration eurobancaire, pesant dans la balance il déclara: “des actes de tyrannie simple peuvent être attribués à la conjoncture du moment, mais une série d’oppressions a débuté à un moment précis et de manière inaltérable au cours des changement de ministères et qui prouve de manière trop évidente le plan systémique de nous réduire tous en esclavage.”[7]

Mais les arguments de Hamilton sponsorisés par Rothschild en faveur d’une banque centrale états-unienne privée l’emportèrent. En 1791, la Banque des Etats-Unis (que nous nommerons dorénavant ici BEU) fut fondée, avec les Rothschild comment actionnaires principaux. La charte de la banque devait expirer en 1811. L’opinion publique était en faveur de révoquer la carte et de la remplacer par une banque centrale publique de type jeffersonien. Le débat fut repoussé alors que la nation fut plongée par les banquiers européens dans la guerre de 1812. Dans un climat de peur et de détresse économique, la charte de la BEU fut renouvelée jusqu’en 1816.

Old Hickory, Honest Abe & Camelot

En 1828, Andrew Jackson se présenta à la présidence des Etats-Unis. Tout au long de sa campagne électorale, il fustigea les banquiers internationaux qui contrôlaient la BEU. Jackson râlait: “Vous êtes un nid de vipères. J’ai l’intention de vous exposer et par dieu éternel, je vais vous extirper de là. Si le peuple comprenait le niveau d’injustice amené par notre système bancaire, il y aurait une révolution avant demain matin.” Jackson gagna les élections et révoqua la charte de la BEU. “L’acte de la charte semble être basé sur l’idée erronée que les actionnaires actuels de la banque ont un droit prescriptif sur non seulement les faveurs du gouvernement, mais aussi sur ses récompenses.. Pour leur profit, l’acte exclut le peuple américain de la compétition à l’achat de ce monopole. Les actionnaires actuels et ceux qui héritent de leurs droits en tant que successeurs, établissent un ordre privilégié, habillé de grande puissance politique et jouissent d’immenses avantages financiers de par leur connexion avec le gouvernement. N’y aurait-il pas péril en la demeure si par les vertus d’un tel acte légal qui concentre l’influence dans les mains d’un directoire auto-élu, dont les intérêts s’identifient à ceux d’actionnaires étrangers; N’y aurait-il pas sujet à trembler pour l’indépendance de notre pays en guerre… pour contrôler notre monnaie, recevoir nos budgets publics et retenir l’indépendance de milliers de nos citoyens; ceci serait plus dangereux et plus formidable que la puissance militaire et navale de l’ennemi. Il est regrettable que les riches et puissants plient trop souvent pour leur seul profit les actes du gouvernement… Pour rendre les riches plus riches et plus puissants. Beaucoup de nos riches citoyens ne sont pas satisfaits de la protection égalitaire et des bénéfices égaux, ils nous ont en revanche induit à les rendre plus riches par actes du congrès. J’ai rempli mon devoir envers mon pays.”[8]

Le populisme prévalut et Jackson fut réélu. En 1835, il fut la cible d’une tentative d’assassinat. Le tireur était un certain Richard Lawrence qui confessa qu’il “était en contact avec des puissances en Europe”.[9]

En 1836, Jackson refusa toujours de renouveler la charte de la BEU. Sous son mandat, la dette nationale états-unienne revînt à zéro pour la première et dernière fois de l’histoire de notre nation. Ceci rendît furieux les banquiers internationaux, qui dérivent une grosse partie de leurs revenus du remboursement des intérêts de la dette des nations. Le président de la BEU Nicholas Biddle coupa le robinet des fonds au gouvernement états-uniens en 1842, plongeant le pays dans une dépression économique. Biddle était un agent de la banque de Paris Jacob Rothschild.[10] De plus, la guerre avec le Mexique fut également déclenchée contre Jackson. Quelques années plus tard, la guerre civile fut déclenchée avec les banquiers de Londres finançant le Nord et les banquiers de France finançant le Sud.

La famille Lehman fit une fortune en passant des armes au Sud et du coton au Nord. En 1861, les Etats-Unis étaient de nouveau endettés de 100 millions de dollars. Le nouveau président Abraham Lincoln se joua lui aussi des banquiers européens en faisant imprimer les fameux “Lincoln Greenbacks” pour payer les factures de l’armée du Nord.

Le journal des Rothschild “Times of London” écrivit: “Si cette politique malicieuse qui a son origine dans la république d’Amérique du nord, devait devenir à la longue une réalité fixe, alors ce gouvernement pourra fournir sa propre monnaie sans coût. Il paiera ses dettes et sera sans dette. Il aura tout l’argent nécessaire pour subvenir à son commerce. Il deviendra prospère au-delà de tout ce qui a été vu jusqu’ici dans l’histoire des gouvernements civilisés du monde. Le savoir-faire et la richesse de tous les pays iront en Amérique du Nord. Ce gouvernement doit être détruit ou il va détruire toutes les monarchies de la planète.”[11]

Le Périodique, pamphlet des euro-banquiers “Hazard Circular” fut dénoncé par les populistes en colère. Le périodique déclarait: “La grande dette que les capitalistes vont créer est faite de la dette générée par la guerre et doit être utilisée pour contrôler la valeur de la monnaie. Pour ce faire, des bons du trésor doivent être imprimés et utilisés comme base bancaire. Nous attendons maintenant le secrétaire au trésor Salmon chase qui doit faire cette recommandation. Cela ne permettra pas de faire circuler les greenbacks (billets verts) comme monnaie, car nous ne pouvons pas contrôler cela. Nous contrôlons les bons du trésor et à travers eux le système bancaire.” La loi sur la banque nationale de 1863 réinstaura la banque privée centrale américaine et des bons de guerre de Chase furent émis. Lincoln fut réélu l’année suivante, jurant de répudier cette loi après avoir pris ses fonctions en 1865. Avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit, Lincoln fut assassiné au théâtre Ford par John Wilkes Booth. Booth avait des connexions importantes avec les banquiers internationaux. Sa petite fille écrivit un livre “Cet acte fou” qui décrit dans le détail les relations de Booth et ses contacts avec “de mystérieux européens” juste avant l’assassinat de Lincoln.

Après avoir tiré sur Lincoln, Booth fut aidé par des membres d’une société secrète connue sous le nom de Chevaliers du Cercle Doré (CCD). Cette société avait d’étroites relations avec la société française des saisons, qui produisit Karl Marx. CCD ont fomenté beaucoup de la tension qui causa la guerre civile et le président Lincoln avait ciblé particulièrement ce groupe. Booth était membre des CCD et était connecté par le truchement du secrétaire d’état de la confédération Judas Benjamin à la maison des Rothschild. Benjamin s’enfuit en Angleterre après la guerre civile. [12]

Près d’un siècle après l’assassinat de Lincoln pour a voir fait imprimer les greenbacks, le président John F. Kennedy se trouva lui aussi sous les feux des huit familles.

Kennedy avait annoncé une “descente” sur les paradis fiscaux et proposa une augmentation des impôts pour les grandes compagnies minières et pétrolières. Il supportait l’élimination des vides juridiques qui permettaient l’évasion fiscale des super-riches. Ses politiques économiques furent publiquement attaquées par le magazine “Fortune”, le Wall Street Journal et à la fois David et Nelson Rockefeller. Même le propre secrétaire au trésor de Kennedy Douglas Dillon, qui venait de la banque d’affaires Dillon Read (UBS Warburg) s’opposa aux propositions de Kennedy. [13]

Le destin de Kennedy fut scellé en Juin 1963 quand il autorisa l’impression par son département du trésor de la somme de 4 milliards de dollars dans une tentative de contrebalancer le taux d’intérêt usurier pratiqué par la clique des banquiers internationaux en contrôle de la banque privée de la réserve fédérale. La femme de Lee Harvey Oswald, qui fut abattu par Jack Ruby, lui-même abattu, dit à l’écrivain A.J. Weberman en 1994: “La réponse à l’assassinat de Kennedy est à chercher avec la banque fédérale. Ne sous-estimez pas ceci. Il est faux de blâmer l’assassinat sur Angleton et la CIA seulement. Ils ne sont qu’un doigt de la même main. Les gens qui fournissent l’argent sont au dessus de la CIA.”[14] Dû au zèle du nouveau président Lyndon Johnson qui de suite hypertrophia la guerre du Vietnam, les Etats-Unis s’enfoncèrent bien plus dans la dette. Ses citoyens furent terrorisés à garder le silence. S’ils peuvent tuer le président; ils peuvent tuer n’importe qui.

La maison Rothschild

La maison hollandaise des Orange fonda la Banque d’Amsterdam en 1609 comme étant la première banque centrale de l’histoire mondiale. Le prince William d’Orange se maria dans la maison anglaise des Windsor, prenant pour épouse Marie, la fille du roi James II. La confrérie de l’ordre d’Orange, qui a fomentée récemment la violence protestante en Irlande du Nord, mit William III sur le trône d’Angleterre d’où il régna sur à la fois l’Angleterre et la Hollande. En 1694, William III fît alliance avec l’aristocratie britannique pour lancer officiellement la Banque d’Angleterre. La vieille dame de la rue du trou d’aiguille, comme est connue la Banque d’Angleterre, est entourée de murs de 9 mètre de haut. Trois étages en dessous est stocké la réserve d’or la plus importante au monde.[15]

Les Rothschild et leurs partenaires consanguins dégénérés des huit familles prirent le contrôle graduellement de la banque d’Angleterre. L’établissement quotidien de la valeur de l’or à Londres s’effectua à la banque N.M. Rothschild jusqu’en 2004. Comme l’assistant gouverneur de la banque d’Angleterre Georges Blunden le fit remarquer: “La peur est ce qui rend la puissance de la banque si acceptable. La banque est capable d’exercer son influence quand les gens sont dépendants de nous et ont peur de perdre leurs privilèges, ou quand ils ont peur.”[16]

Mayer Amschel Rothschild vendit les mercenaires allemands Hessiens du gouvernement britannique pour combattre contre les révolutionnaires américains, envoyant les dividendes à son frère Nathan à Londres, où la banque Nathan and Meyer Rothschild & fils (connue sous le vocable N.M Rothschild) était établie. Mayer était un élève sérieux de Cabala et commença sa fortune avec de l’argent soutiré d’un administrateur royal de William IX opérant dans la région du Hesse-Kassel et un franc-maçon connu.

Barings, contrôlée par Rothschild, domina le commerce de l’opium chinois et des esclaves africains. Il finança l’achat de la Louisiane (à Napoléon). Quand plusieurs états refusèrent de payer leurs dettes, Barings soudoya Daniel Webster pour faire des discours prônant le remboursement des dettes. Les états tinrent leur ligne de refus, et en 1842, la maison Rothschild coupa le robinet d’argent plongeant les États-Unis dans une dépression. Il a souvent été dit que la fortune des Rothschild dépendait de la banqueroute des nations. Mayer Amschel Rothschild déclara: “Je ne m’intéresse pas de savoir qui contrôle les affaires d’une nation, aussi loin que je puisse contrôler sa monnaie.”

La guerre ne fut pas néfaste à la fortune familiale non plus. La maison des Rothschild finança la guerre de Prusse, la guerre de Crimée et la tentative britannique de saisir le canal de Suez aux Français. Nathan Rothschild fît un gros pari financier sur Napoléon à la bataille de Waterloo, tout en finançant également la campagne péninsulaire du duc de Wellington contre ce même Napoléon. Les deux guerres aux Etats-Unis contre le Mexique et la guerre civile, furent de véritables mines d’or pour la famille.

Une biographie de la famille Rothschild mentionne une réunion à Londres où un “syndicat banquier international” décida de monter le Nord contre le Sud des Etats-Unis comme partie intégrante de la stratégie du “diviser pour mieux régner”. Le chancelier allemand Otto Von Bismarck dit une fois: “La division des Etats-Unis en des fédérations de force égale fut décidée bien avant la guerre civile. Les banquiers craignaient que les Etats-Unis déçoivent leur domination financière du monde. La voix des Rothschild prévalut.” Le biographe de la famille Derek Wilson dit que la famille était le banquier officiel européen pour le gouvernement Etats-Unien et un grand supporteur de la BEU. [17]

Un autre biographe Neill Fergusson nota un “vide substantiel et non expliqué” dans la correspondance des Rothschild entre 1854 et 1860. Il a dit que toutes les copies des lettres émanant des Rothschild de Londres pendant la période de la guerre civile américaine “furent détruites sur ordre de partenaires successifs”.[18]

Des troupes françaises et britanniques avaient encerclé les Etats-Unis au faîte de la guerre civile. Les britanniques envoyèrent 11 000 soldats au Canada, contrôlé par la couronne britannique et qui protégeait les agents confédérés. Napoléon III de France installa un membre de la famille autrichienne des Habsbourg L’archiduc Maximilien comme empereur marionnette de Mexique, où les troupes françaises se massèrent à la frontière du Texas. Seule l’envoi et le déploiement à la 25ème heure de deux navires de guerre russes par le Tsar Alexandre II allié des Etats-Unis en 1863, empêcha une recolonisation des Etats-Unis.{19]

La même année le Chicago Tribune écrivît: “Belmont (Auguste Belmont était un agent des Rothschild et avait une course de chevaux de la triple couronne nommée d’après lui) et les Rothschild… qui ont acheté les bons de guerre confédérés…”

Salomon Rothschild dit de Lincoln mort: “Il rejette toute forme de compromis. Il a l’apparence d’un paysan et ne peut raconter que des histoires de bars.” Le baron Jacob Rothschild était tout aussi flatteur à l’égard des citoyens américains, il commenta un jour au ministre états-unien envoyé en Belgique Henry Sanford à propos du plus du demi million de citoyens américains qui moururent lors de la guerre civile: “Quand votre patient est désespérément malade, vous essayez des mesures désespérées, y compris les saignées.” Salmon et Jacob ne faisaient que continuer une tradition familiale. Quelques générations auparavant Mayer Amschel Rothscild avait dit à propos de sa stratégie d’investissement: “Lorsque les rues de Paris sont inondées de sang… J’achète.”[20]

Les fils de Mayer Rothschild étaient connus sous le nom des cinq de Francfort.

Le plus vieux Amschel, s’occupa de la banque de Francfort avec son père, tandis que Nathan géra les affaires de Londres. Le plus jeune Jacob fut envoyé à Paris, tandis que Salomon dirigea la branche de Vienne et Karl celle de Naples. L’écrivain Frederick Morton estime que dès 1850, les Rothschild pesaient 10 milliards de dollars.[21] Quelques chercheurs pensent que leur fortune aujourd’hui s’élèverait à plus de cent mille milliards de dollars. C’est estimé peut-être à tort, personne ne sait vraiment.

Les Warburg, Kuhn Loeb, Goldman Sachs, Schiff, Rothschild, se sont mariés entre eux et forment une heureuse famille bancaire. La famille Warburg qui contrôle la Deutsche Bank et la BNP se lia avec les Rothschild en 1814 à Hambourg, tandis que la puissante Jacob Schiff des Kuhn Loeb partagea ses quartiers avec les Rothschild dès 1785. Schiff immigra aux Etats-Unis en 1865. Il joignit ses forces avec Abraham Kuhn et maria la fille de Salomon Loeb. Loeb et Kuhn épousèrent les sœurs de l’un l’autre ainsi fut scellée la dynastie Kuhn-Loeb. Felix Warburg se maria avec la fille de Jacob Schiff. Deux filles Goldman marièrent deux fils de la famille Sachs, créant ainsi Goldman Sachs. En 1806, Nathan Rothschild maria la plus âgée des filles de Levi Barent Cohen, un financier de renom à Londres.[22] Ainsi Abby Joseph Cohen de Merill Lynch et le secrétaire à la défense de Clinton William Cohen, sont des descendants probables des Rothschild.

Aujourd’hui, les Rothschild sont à la tête d’un empire financier extensif, qui implique des parts importantes dans la plupart des banques centrales mondiales. Le clan d’Edmond de Rothschild possède la Banque Privée SA à Lugano en Suisse et la banque Rothschild AG de Zürich.

La famille de Jacob Lord Rothschild possède la puissante Rothschild Italia De Milan. Ils sont les membres fondateurs du club très exclusif des Iles à dix mille milliards de dollars, qui contrôle les géants industriels tels la Royal Dutch Shell, les industries chimiques impériales, la banque Lloyds de Londres, Unilever, Barclays, Lonrho, Rio Tinto Zinc, BHP Billiton et la branche De Beers anglo-américain. Le club domine la distribution mondiale de pétrole, d’or, de diamants et de bien d’autres matières premières vitales.[23]

Le Club des Iles donne le capital du Quantum Fund NV de George Soros, qui fît des gains substantiels en 1988-99 après l’effondrement des monnaies en Thaïlande, Indonésie et Russie. Soros fut un actionnaire principal de la compagnie pétrolière de Georges W. Bush Harken Engergy. Le Club des Iles est dirigé par les Rothschild et inclut la reine Elisabeth II d’Angleterre et d’autres aristocrates européens et membres de familles royales.[24]

L’entité qui détient le plus de richesses pour les Rothschild aujourd’hui est peut-être la Rothschild Continuation Holdings AG, une holding bancaire secrète, basée en Suisse. Vers la fin des années 1990, les tenants de l’empire global Rothschild étaient les barons Guy et Elie de Rothschild en France et Lord Jacob et Sir Evelyn Rothschild en Grande-Bretagne.[25]

Evelyn était le président de la revue “Economist” et un directeur de DeBeers et IBM GB.

Jacob fut derrière la campagne d’Arnold Schwarzenegger pour les élections de gouverneur de Californie. Il prît contrôle des parts de Khodorkovsky avec Youkos Oil juste avant que le gouvernement russe ne l’arrête. En 2010, Jacob rejoignit Ruppert Murdoch dans un partenariat d’extraction pétrolier en Israël par Genie Energy, une compagnie subsidiaire de IDT Corporation.[26]

Quelques mois plus tard, Sarah Palin s’alloua les services de l’ex-PDG de IDT comme chef de personnel. [27]

Tiré des travaux de Dean Anderson

Notes

 

[1] The Temple & the Lodge. Michael Bagent & Richard Leigh. Arcade Publishing. New York. 1989. p.259

 

[2] Ibid. p.219

 

[3] Ibid. p.253

 

[4] Ibid. p.233

 

[5] The Robot’s Rebellion: The Story of the Spiritual Renaissance. David Icke. Gateway Books. Bath, UK. 1994. p.156

 

[6] Democracy for the Few. Michael Parenti. St. Martin’s Press. New York. 1977. p.51

 

[7] Fourth Reich of the Rich. Des Griffin. Emissary Publications. Pasadena, CA. 1978. p.171

 

[8] Ibid. p.173

 

[9] Rule by Secrecy: The Hidden History that Connects the Trilateral Commission, the Freemasons and the Great Pyramids. Jim Marrs. HarperCollins Publishers. New York. 2000. p.68 [10] The Secrets of the Federal Reserve. Eustace Mullins. Bankers Research Institute. Staunton, VA. 1983. p.179

 

[11] Human Race Get Off Your Knees: The Lion Sleeps No More. David Icke. David Icke Books Ltd. Isle of Wight. UK. 2010. p.92

 

[12] Marrs. p.212

 

[13] Idid. p.139

 

[14] Ibid p.141

 

[15] Icke. The Robot’s Rebellion. p.114

 

[16] Ibid. p.181

 

[17] Rothschild: The Wealth and Power of a Dynasty. Derek Wilson. Charles Schribner’s Sons. New York. 1988. p.178

 

[18] The House of Rothschild. Niall Ferguson. Viking Press New York 1998 p.28

 

[19] Marrs. p.215

 

[20] Ibid

 

[21] “What You Didn’t Know about Taxes and the Crown”. Mark Owen. Paranoia. #41. Spring 2006. p.66

 

[22] Marrs. p.63

 

[23] “The Coming Fall of the House of Windsor”. The New Federalist. 1994

 

[24] “The Secret Financial Network Behind ‘Wizard’ George Soros”. William Engdahl. Executive Intelligence Review. 11-1-96

 

[25] Marrs. p.86

 

[26] “Murdoch, Rothschild Invest in Israeli Oil Shale”. Jerusalem Post. November 22, 2010

 

http://www.globalresearch.ca/PrintArticle.php?articleId=25179      Page 6 of 7

 

The Federal Reserve Cartel: Freemasons and The House of Rothschild       6/9/11 11:48 AM

 

[26] “Murdoch, Rothschild Invest in Israeli Oil Shale”. Jerusalem Post. November 22, 2010

 

[27] “Sarah Palin hires chief of staff for PAC », Huffington Post. February 2011

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Hillary Clinton et la Shemitah : La preuve ici indiscutable de la planification des élites sur nous !

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Beaucoup de visiteurs sur ce site s’informent des dernières nouvelles concernant cette mégère d’Hillary Clinton et ils ont absolument raison. Si elle était élue, nous serions tous en grand danger. Cette femme est l’incarnation du mal sur terre.

Un autre sujet d’égale importance, sinon plus, est la Shemitah. C’est un sujet que peu connaissent. Et pourtant c’est un moyen absolu pour avoir une preuve irréfutable de la planification par l’élite d’une certaine communauté (devinez laquelle) des évènements majeurs qui surviennent. D’ailleurs vous trouverez des vidéos ou le sieur Jacques Attali s’épanche sur la Shemitah.

Les fuites en provenance de cette communauté et les indices qui montrent la planification démoniaque derrière les évènements majeurs du monde ne sont pas chose courante. Ils nous sont distillés avec parcimonie. Aussi quand on est mis en présence de l’un d’eux, et de cette importance, il faut y accorder toute notre attention.

Alors, Hillary Clinton c’est très bien, la Shemitah c’est encore bien mieux.

La Shemitah présente des vérités absolument incontestables et d’importance majeure pour nous, les dominés qui prouvent :

  • Que le Brexit a été voulu et planifié.
  • Que les banksters ont imprimé 250 milliards de livres à partir de rien à la Banque d’Angleterre et que cet argent est déjà détourné ou en passe de l’être
  • Que les élites comme Soros avaient misé tous leurs fonds sur la certitude du Brexit et le fait que l’or et les mines d’or allaient grimper fortement.
  • Que les élites se servent de la Cabale Juive, et de la Shemitah, croyance juive, pour dicter les évènements majeurs du monde.

Nous sommes quelques milliers dans le monde à suivre les nouvelles de la Shemitah. Pour ma part j’y ai passé du temps et j’ai découvert pas mal de trucs intéressants auxquels vous feriez bien de vous intéresser. Mais je ne suis pas le seul.

Notre excellent contributeur Rhodes s’y est intéressé depuis longtemps et a réagi à mon article sur la Shemita. Il attire notre attention sur une preuve absolue de la planification par les élites des évènements majeurs, ici du Brexit. Je répercute sur vous car l’information est vraiment d’Importance.

Je cite tout d’abord Rhodes dans son message :

« Pour le shemitah, le super shemitah (le jubilé) de 2016, j’avais oublié un événement important qui s’est déroulé le 23 juin et qui va avoir des conséquences économiques et géopolitiques énormismes : le Brexit.

 “First, David Cameron was elected upon his promise to hold a Brexit vote in 2017. He changed that, shocking many, to June 23rd of this year… just a day before the 7th year, 7th month, 7th week and 7th day after the last major financial crisis. Why would he do such a thing? Take such a risk? He could have waited another 1-2 years to take that risk.

 Vous avez bien compris ? Le vendredi 24 juin, le lendemain du vote sur le Brexit, c’était exactement jour pour jour, 7 années, 7 mois, 7 semaines, 7 jours, depuis le krach des marchés le lundi 29 septembre 2008.

 Ah, le magic number 7 de Christine Lagarde !

 Quelqu’un a dû souffler à l’oreille de Cameron cette date du 23 juin, pour qu’il se décide à avancer la date du référendum prévu initialement en 2017. Ne me dites pas que c’est le hasard qui a fait bien les choses… »

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Allons sur le lien fourni par Rhodes, et écoutons Jeff Berwick, le chanter numéro 1 de la Shemitah que j’écoute depuis des années, bien que je ne connaissais pas cet article-ci.

En 2014, Christine Lagarde a prononcé un discours sur “le nombre magique 7.” Ce discours historique, ainsi que le travail de Jonathan Cahn (qui a écrit le premier un livre best-seller sur la Shemitah), nous a conduit au cycle de sept ans de la Shemitah et de l’année du Jubilé, dont les élites globalistes sont bien conscients.

Ce que nous avons découvert depuis est qu’il y a encore plus de signification au “nombre magique 7” que des années. Ce nombre semble corréler jusqu’au mois, semaines et jours.

Le dernier accident majeur du marché a eu lieu le 29 Septembre 2008. Ce jour-là, le Dow Jones est tombé de 777 points, une chute vertigineuse, de tous les nombres passés son plus grand point de chute sur une journée.

Le vendredi, à la suite du Brexit, le Dow Jones a chuté de plus de 600 points. Ce qui est intéressant au sujet de la date de vendredi ? Il tombait pile de 7 ans, 7 mois, 7 semaines et 7 jours depuis le 29 Septembre 2008.

Et quelle journée du vendredi 24 Juin ça a été ! Le Japon Nikkei a chuté de plus de 7% et a été fermé, le footsie FTSE de la bourse de Londres a perdu 100 milliards de livres en valeur et a chuté de 8,7% et le Dow Jones a chuté de 600 points. Et la livre sterling a chuté de 10% à un plus bas de 31 ans. Ceci est exactement le type de volatilité de Super Shemitah / Jubilé sur laquelle nous avons mis en garde contre: clinique, catastrophique, méthodique.

LE BREXIT, PARTIE DU PLAN DE JUBILEE ?

Ayant eu une journée pour réfléchir à tout ce qui a transpiré, il nous semble que le Brexit pourrait effectivement faire partie du plan de l’année jubilaire pour le chaos maximum.

Nous avons été surpris de voir le Brexit gagner … après tout, le vote passé de ce type ont été contrecarrés soit par la propagande, la fraude électorale ou d’autres manipulations.

Mais, avec le recul, le Brexit a un sens parfait.

Tout d’abord, David Cameron a été élu sur sa promesse de tenir un vote de Brexit en 2017. Il a changé cela, choquant beaucoup, au 23 Juin de cette année … juste un jour avant la 7e année, 7e mois, 7ème semaine et 7 jours après le dernier crise financière majeure. Pourquoi ferait-il une telle chose ? Prendre un tel risque ? Il aurait pu attendre encore un ou 2 ans pour prendre ce risque.

La réaction hyper rapide suspecte de la Banque d’Angleterre

Perdu dans les titres de journaux, le vendredi même la Banque d’Angleterre et son gouverneur, Mark Carney, se sont engagés à imprimer jusqu’à 250 milliards de livres (345,93 milliards $ US) pour “soutenir les marchés financiers.”

 Personne n’a mentionné celà ou semble savoir ce que ça signifie. Ainsi, en quelques heures, les banques au Royaume-Uni semblent avoir reçu un énorme plan de sauvetage du style 2008 … mais sans que personne ne remarque.

Et, qui a profité de ces milliards de livres ? Des gens comme George Soros, qui a transféré ses actifs pour de l’or. Compte tenu de cela, je pense qu’il est pleinement justifié de dire que l’issue du Brexit avait été prévue, et même manigancée.

En quelques heures du vote Brexit, comme je l’ai dit qui se passerait, des mouvements massifs de quitter l’UE ont éclaté en France, la Suède, le Danemark, la Hollande et l’Italie. Et, juste avant Brexit, la Suisse a retiré sa demande de longue date à rejoindre l’UE.

Bientôt, nous verrons probablement – en dehors de Brexit – un … Grexit. Departugal. Italeave. Fruckoff. Czechout. Oustria. Slovakout. Latervia et Byegium entre autres.

D’un autre côté, les gens se réveillent. Le Brexit a démontré ceci. Beaucoup se rendent compte que d’être gouverné par des technocrates dont les noms ne vous sont même pas connus, dans des lieux éloignés, n’a aucun sens. Les élites sont au courant de cette prise de conscience et ils ne savent pas comment l’arrêter. Comme l’a dit John Kerry, «cette petite chose appelée Internet est ce qui rend difficile à gouverner.” Gouverner est synonyme de contrôler.

Et ainsi, nous l’espérons, de plus en plus de gens vont se réveiller et ne pas vouloir seulement du “Brexit” mais veulent aussi se débarrasser du gouvernement britannique ainsi, et le gouvernement fédéral américain, et finalement tous les gouvernements … et les banques centrales.

Les élites savent donc ils ont décidé de ne pas lutter contre cette marée montante. Ils vont permettre que cela se produise, mais ils vont créer tant de chaos dans le processus que presque tout le monde sera pauvre et demandera humblement une nouvelle règle globale.

Nous sommes maintenant dans des temps très intéressants !

Nous avons averti d’être prêt pour le chaos massif cette année et Brexit semble être la goupille qui déclenche le feu d’artifice. Nous entrons dans le dernier trimestre de cette année jubilaire!

Algarath

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Jeff Berwick est un Anarcho-capitaliste. Libertaire. Combattant de la liberté contre deux plus grands ennemis de l’humanité, l’Etat et les banques centrales. Jeff Berwick est le fondateur du Dollar Vigilante et l’hôte du podcast vidéo populaire, Anarchast. Jeff est un orateur de premier plan à un grand nombre de conférences liberté, d’investissement et d’or du monde, y compris le sien, la plus grande conférence anarcho-capitaliste du monde, Anarchapulco, ainsi que régulièrement dans les médias, y compris CNBC, CNN et Fox Business.

 

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Mon Interprétation de l’entretien de Jacob de Rothschild

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Je pense bien que c’est la première fois que Jacob de Rothschild se fend d’une interview reprise dans un article. Et pas pour parler de la pluie et du beau temps mais d’environnement économique et d’investissements.

Écoutons-le d’abord pour bien saisir ce qu’il dit

Sa déclaration n’est pas telle qu’elle incite à la peur forte ou à la panique, mais il annonce clairement que son portefeuille est maintenant investi dans les marchés à hauteur seulement de 44%, et que récemment il l’était à 55%.  Plus ça avance, plus il sort. Le reste est en liquidités non investies. Il annonce aussi que l’or représente maintenant 8%, alors qu’avant, comme pour beaucoup, il représentait une part quasi nulle. La part en livres sterling est à 34%, réduite énormément.

Il avoue que c’est la première fois dans l’histoire du monde que les taux sont à zéro. 

Et que c’est la plus grande expérience de politique monétaire. Le marché considère maintenant qu’il a rejoint le club des milliardaires qui pensent que la bourse va chuter. Le marché trouve que, Rothschild possédant la Réserve Fédérale et celle-ci trafiquant le prix des stocks à la hausse, sa position est antinomique.

Jacob de Rothschild avoue que c’est impossible de prédire les conséquences non-voulues de taux d’intérêt bas et que nous sommes en pleine découverte. Il rappelle que 30% des dettes des gouvernements mondiaux sont à taux négatifs. Les actifs en dollars US de Rothschild ont été significativement réduits. La hausse du dollar lui a permis d’acheter avec les gains d’autres devises et de l’or, cet or qui reflète à l’écouter parler ses craintes de la politique monétaire et des taux d’intérêt qui ne cessent pas de chuter en territoire de plus en plus négatif.

D’abord pourquoi prend-il publiquement la parole pour divulguer l’évolution de son portefeuille d’environnement ?

  • • C’est une première. Il ne l’a jamais fait auparavant ni aucun autre Rothschild depuis 250 ans ! Et ce sur ordre de Mayer Amschel Rothschild dans son testament il  y a 250 ans environ ! Il y a bien sûr une raison. Veut-il avertir pour s’exonérer et dire plus tard : « Je vous avais prévenu ». On sait que Soros a doublé avant hier ses paris short sur les bourses, en investissant de 1800 millions de dollars jusqu’à 3,600 millions de dollars en options put, c’est à dire en pariant sur une forte chute. Il avait déjà mis 1800 millions de dollars il y a 18 mois mais en doublant il nous averti que les chutes sont probablement imminentes.
  • • Il recommande l’or, alors qu’avant sa part était nulle.
  • • Il avoue ses craintes car jamais dans l’histoire de l’humanité les taux n’avaient été aussi bas et souvent négatifs. Il avoue que les banques centrales sont en territoire inconnu ! C’est cocasse parce qu’il est à la tête de toutes les banques centrales du monde sauf 2. Il avoue ainsi qu’il est au bout du rouleau et que ces taux négatifs vont foirer.
  • • Il largue ses dollars, la livre sterling. Il les critique, et je pense qu’il va faire très bientôt la promotion d’une autre solution, et que ce seront les DTS / SDR.

Je pense qu’il annonce un crash boursier plus ou moins proche, et que les devises ne sont plus adéquates. Il se prépare à faire franchement la promotion des DTS / SDR. Il annonce que l’or va grimper. Il annonce que la solution des taux bas n’en est pas une.

Algarath

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Comment les Rothschild ont créé la Finance moderne, et une fortune colossale qui dure depuis des siècles

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La dynastie Rothschild est, sans aucun doute, le pionnier de la finance internationale depuis plus de 250 ans sans discontinuer. Quand on parle banksters, cette dynastie y est étroitement associée.

Mayer Amschel Rothschild, le premier de la famille à ouvrir une banque, a été honoré par le magazine Forbes comme le septième homme d’affaires le plus influent de tous les temps et l’inventeur de la banque moderne qui a introduit “des concepts tels que la diversification, une communication rapide, la confidentialité et un volume élevé.”

Simplement, Mayer a compris et était prêt à dépenser de l’argent pour faire de l’argent.

Mais augmentation rapide de la famille à la richesse leur a valu beaucoup d’animosité à travers les annales de l’histoire. Un Google rapide de la « famille Rothschild » révèle un grand nombre de théories entourant les moyens prétendument douteux utilisés pour obtenir leur fortune, l’étendue de leurs connexions, et leur influence sur les grands événements mondiaux.

Pour être juste, de nombreux éléments de l’histoire de la famille sont assez troublants pour piquer l’intérêt de la masse. Un grand nombre d’historiens et de chercheurs ont prouvé au-delà de tout doute que les Rothschild ont usé de moyens douteux pour s’enrichir.

Par exemple, le mode principal de Mayer de thésaurisation de la richesse de la dynastie était de mettre en place une politique de maintien des amis proches et la famille encore plus proche.

Comment une couvée de commerçants de rue allemands ont réussi à émerger, apparemment du jour au lendemain, et devenir les animateurs principaux du capitalisme moderne, les détenteurs d’une immense puissance politique et la famille la plus riche de toute l’histoire ?

Vous lirez l’histoire de cette saga au fil des semaines sur ce site.

Algarath

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